JérômeActarus

La première surprise de cet épisode est qu'il se détache complètement du précédent. L'arrivée de Kazuya avait – donc - laissé une fausse impression d'évolution rapide et de dénouement proche.

L'hypnose et l'indécision sont prétextes à nous montrer un Kyosuke différent. En usant et en abusant de son Pouvoir, il obtient la réussite (sport, étude, fille, etc…) que souhaite chaque garçon. Mais elle fait de lui un personnage antipathique , un personnage rempli d'estime de soi, égoïste, cherchant à attirer l'attention sur lui, à afficher sa supériorité en rabaissant les autres et se croyant presque tout permis. Ce qu'il gagne d'un côté n'est rien par rapport à ce qu'il perd : Madoka. Car comme les spectateurs, elle n'aime pas ce nouveau Kyosuke.

Salut

Pourquoi aimer KOR ? La bonne question serait plutôt : comment ne pas aimer ?

KOR c'est génial, au véritable sens du mot : qui relève du génie. En l'occurence il s'agit ici de génie artistique, d'une alchimie entre plusieurs talents qui ont su créer - sans probablement s'en rendre compte sur le coup - une des plus grandes oeuvres de la télévision.

Ce qui ressemble à première vue, à un DA comme les autres DA, c a d un simple programme destiné à un public jeune est bien au delà de cette apparence pour celui qui sait le regarder, pour celui qui a suffisament d'ouverture d'esprit et pour celui qui ne veut pas être un téléspectateur passif qui éteint son cerveau au moment où il allume son poste.

KOR est unique, KOR a des qualités et des propriétés qu'on ne retouve nulle part ailleurs. La série, il faut moins de 60 secondes pour l'aimer, il faut 48 x 30 mn pour la regarder mais il faut plusieurs années pour véritablement la comprendre.