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on 27 octobre 2024 - 15h42
Après vous avoir proposé un dytique été, je vous propose aujourd’hui un diptyque automne/hiver.
Je me suis librement inspiré de deux illustrations présentes dans l'artbook "Season" d'Izumi Matsumoto. Le résultat n'est, bien sûr, pas "parfait", mais j'espère quand-même qu'il vous plaira 
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on 12 octobre 2024 - 17h55
Merci pour ce débat très intéressant FrozenOwl 
L'animation japonaise, tout comme le Japon, est à un tournant de son histoire. Le métier est difficile, mal rémunéré, épuisant, les "anciens" quittent le métier petit à petit et les "jeunes" n'ont pas forcément envie de reprendre la suite.
L'animation japonaise n'a jamais été aussi populaire, elle n'a jamais autant rapporté d'argent mais les salaires ne suivent pas et les cadences sont infernales (malgré l'aide de l'outil informatique).
Ce qui est même incroyable, c'est qu'hier les coréens étaient sous-traitants des japonais et maintenant les japonais adaptent des web toons coréens...
Pourquoi alors déterrer des œuvres du passé ? Manque d'idées ? Argent facile ?
Je ne saurais être objectif dans un tel débat. Tout ce que je peux dire, c'est que les adaptations modernes peuvent offrir une seconde chance aux séries anciennes. Et, par exemple, pour les Aventures de Dai/Dai no Daibôken/Fly (appelez le comme vous voulez), la nouvelle adaptation a permis à l'intégralité du manga d'être adapté dans de bonnes conditions.
Oui, nous sommes des "enfants" gâtés, nous avons plus de choix aujourd'hui qu'hier et nous nous plaignons d'avoir trop à regarder. C'est la même chose avec les mangas, les séries, les films, les jeux vidéo...
Le géant culturel américain lui-même ne sait plus où aller en privilégiant les remake, reboot, suites... Disney a tué ses poules aux œufs d'or (Disney, Marvel, Star Wars) en les faisant aller tout azimut et en proposant trop de contenu au point de nous dégoûter...
Dans cet océan culturel, comment laisser leur chance aux innovateurs ? aux créatifs ? Et s'ils ont la chance de pouvoir s’exprimer publiquement, arriveront-t-ils à trouver leur public et à obtenir le succès mérité ?
Beaucoup de questions et très peu de réponses en somme...
Voyons le bon côté des choses, tant que les médias existent, il y a de l'espoir
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on 23 septembre 2024 - 12h05
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on 17 juillet 2024 - 20h01
C’est parti pour mon compte-rendu annuel du salon !
Malgré une programmation en demi-teinte, cette année a été riche en événements !
Je reviendrai au fur et à mesure des nombreux couacs qui ont émaillé cette saison.
Dans mes temps forts de cette année, j’avais placé la conférence Spy x Family et la conférence Demon Slayer en tête. Je n’attendais pas grand-chose d’invités qui était déjà venus (et que j’avais déjà vu) et, pour le reste, ça allait être des découvertes plus ou moins sympathiques. Je précise dès le début que durant toutes les conférences auxquelles j’ai assisté les photos et les vidéos étaient interdites.
Programme optimisé à l’aide d’« Olivier Airlines » 
Jeudi 11
La matinée commence par la prestation de Waccha « le beatboxer samurai ». une prestation toujours très propre et maîtrisée… même avec un micro filaire (on ne remercie pas la technique pour tous les problèmes de micro cette année!).
Un court passage par le Kimono Dance Project en Ichigo (sur lequel je reviendrai plus tard) pour enchaîner en Tsubame sur un tout jeune groupe d’idols nommé « Iiidolls ». Il s’agit d’un groupe de 6 toutes jeunes filles formé en 2023. Elles ont donc la fraîcheur des débuts avec leurs costumes colorés et leurs chansons et chorégraphies dans un pure style kawaii. Pour des débutantes, elles ont été très professionnelles et n’ont pas démérité !
Un peu en retard sur la scène Sakura pour (re)voir Katanayaichi, un spectacle qui mélange toujours aussi bien l’action que la dramaturgie. Mention spéciale aux enfants en bas âge, un petit garçon et une petite fille, qui étaient très convaincants !
Vient ensuite l’événement de la journée, la conférence en Ichigo sur « l’enfant du mois de Kamiari », un film de 2021 produit par Netflix. Cette conférence très maîtrisée, était un mélange de remerciements, de promotion et de publicité touristique pour la ville d’Izumo. Les 2 temps forts ont été la prestation d’un artiste de sumi-e (technique de peinture traditionnelle au pinceau) qui a dessiné en direct un magnifique dragon (sur un support long à installer et trop petit par rapport au travail exceptionnel de l’artiste) et la prestation de la chanteuse Miwa, qui a interprété un morceau à cappella et la chanson de fin. La prestation à cappella de Miwa fut exceptionnelle d’intensité grâce à la voix cristalline de la chanteuse. Un grand moment d’émotion qui a ému plus d’un spectateur dans la salle et moi le 1er ! Je précise que les interventions de ces deux artistes avaient été réalisées auparavant directement à Izumo pour rendre hommage aux divinités et qu’elles ont été reproduites pour remercier les nombreux spectateurs. J’ai eu un grand plaisir de revoir Miwa, qui malgré sa nouvelle couleur de cheveux, sa pâleur et sa maigreur n’a rien perdu de son charme et de sa voix
Changement d’ambiance avec le 2ème groupe d’idols de cette année, les Kannagi Rabbits en Tsubame. Elles étaient déjà venues en 2022 et Olivier m’en avait dit le plus grand bien. C’est là que l’on s’aperçoit de l’importance de l’expérience. J’ai été impressionné par leur ventre dénudé à la fois plat et musclé ! Par rapport aux Iiidollls, elles avaient des chansons et des chorégraphies bien plus travaillées. Plus âgées, elles étaient plus sexy mais sans jamais être vulgaires. 2 groupes, 2 ambiances, 2 concepts, plus que de la redondance, je dirais de la complémentarité.
Retour à plus de traditionnel en Sakura, en ayant manqué le début, avec la prestation de Senju shishi lion, un pur spectacle traditionnel proche du kabuki avec un côté très lent peu adapté au public occidental (un peu assoupissant au moment de la pause déjeuner). Toujours dans le traditionnel, la prestation maîtrisée de Kamui, en Ichigo, meilleur en chorégraphie qu’en dramaturgie par rapport à Katanayaichi, avec un programme sensiblement identique aux années précédentes.
Un bon décrassage d’oreilles en Tsubame avec le groupe de métal Asterism. Un groupe meilleur en instrumental qu’en chanson pure, même si la très charmante chanteuse et guitariste Hal-Ca se débrouille très bien ! J’ai encore mal au cou en la revoyant remuer frénétiquement de bas en haut sa longue chevelure noire avec les mèches vertes ! Un groupe de qualité qui a apporté avec lui des fans de métal plus âgés et d’apparence surprenante !
Encore du traditionnel en Sakura avec la prestation de pole dance d’Himeno Takashima. Un spectacle mélangeant le pole dance, l’acrobatie et le burlesque. Une prestation maîtrisée mais qui ne m’a pas complètement convaincu… peut-être parce que l’artiste avait déjà un certain âge !
La fin de journée a été marquée par un spectacle amateur assez convaincant de Star Wars en Ichigo avec défilé de costumes, combats au sabre laser et reproduction de scènes de films ainsi qu’une conférence en Yuzu, plutôt anecdotique, de Shinji Higuchi, ancien membre de Gainax et co-réalisateur du film Shin Godzilla (avec Hideaki Anno). Théoriquement la conférence était d’accès libre, mais il fallait un coupon pour assister au film… Ce qui a semble-t-il changé en cours de soirée ! La conférence était donc suivie d’un film, mais cela faisait rentrer trop tard, donc il fallait mieux faire l’impasse dessus.
Et là, impossible de sortir avant la fin du film car le portail était fermé ! Après attente et confusion, le staff nous a fait finalement ressortir par l’entrée… Quel manque d’organisation et quelle perte de temps !
Vendredi 12
Journée marquée sous le signe du plantage du serveur de dédicaces mais j’ai quand-même gagné 2 tirages au sort et 1er arrivé 1er servi !!!
La matinée a commencé tranquillement par la visite de l’exposition consacrée au 70 ans de Godzilla. Très belle exposition remplie de photos, de reproductions d’affiches d’origine, de dessins et de goodies.
J’ai été faire la photo avec les Iiidolls ! Elles étaient absolument toutes mignonnes… mais très jeunes ! Un gars dans la file était un peu honteux en disant qu’il pourrait être leur grand-père. Je lui ai répondu qu’on ne faisait rien de mal alors ça allait ! On avait droit au high five alors je ne me suis pas gèné pour le faire des 2 mains sur les 6 filles ! J’ai eu un peu peur de leur faire mal, surtout avec leurs doigts fins et longs. Le moment fut agréable mais très court !
J’ai rapidement enchaîné avec la dédicace des Kannagi Rabbits… qui étaient aussi adorables mais dans un autre style car elles étaient plus âgées. J’ai bafouillé quelques mots rapides : « konichiwa », « hajimemashite »… J’ai réussi à placer à Ayane que c’était la plus kawaii (« Ayane ga ichiban kawaii ») et elle m’a fait un cœur avec les mains ! Elles m’ont demandé si j’aimais les idols, j’ai répondu que oui et que c’était très « genki ». J’avais perdu mon « tanoshi » en cours de route, l’émotion… Un moment encore très rapide mais on n’a pas d’autographes de 6 jolies filles tous les jours !
Showcase de Mika Kobayashi en Tsubame. Toujours aussi bonne chanteuse et très agréable au piano… Bon, ça serait bien quand-même de renouveler les chansons… et les invités !
Concert d’Asterism, pour la 2ème fois, mais dans une vraie salle à ambiance : la scène Ichigo. Un bien meilleur son même avec un placement plus loin. Ce fut un vrai mini-concert avec salle noire, fumée, éclairages dynamiques et écran vidéo géant. Le batteur avait même une meilleure batterie ce qui était impossible sur la scène plus petite de Tsubame.
J’ai ensuite assisté partiellement en Yuzu à la conférence sur la future adaptation française de Cat’s Eye produite par TF1. Ce sera une « origine story » en 8 épisodes et ils annoncent déjà une saison 2. Encouragés par Tsukasa Hôjô, beaucoup de libertés ont été prises par l’équipe pour aller vers davantage de réalisme et de modernité. Le making of avait l’air pas mal, à voir ce que donnera la série cette automne… ça peut être très bon comme très mauvais.
Un petit tour du côté des stands du hall 4 avant de revoir les Kannagi Rabbits en Kamo, une scène plus petite où les wotas criaient plus fort que le son du concert ! La scène Kamo s’améliore, mais ce n’est pas encore ça...
J’ai été ensuite faire ma photo avec les Kannagi Rabbits. Je devais passer en 1er mais je me suis fait doubler par plusieurs personnes car la file d’attente n’avait ni queue ni tête ! Un instant hélas plus court que la séance de dédicaces et en un éclair c’était terminé…
J’ai vu ensuite le magnifique spectacle de Ioriya avec des costumes incroyables et des drapeaux géants qui virevoltaient magistralement sur la grande scène Ichigo ! Un pur régal !
Le clou de la soirée et de la journée a été la conférence Spy x Family en présence de la doubleuse française Adeline Chetail mais surtout la seiyuu Saori Hayami… ma seiyuu préférée du moment ! Bien qu’arrivé tôt et avec une entrée sensée être limitée à ceux qui avaient un ticket , il y eu une affluence démesurée et le staff s’est retrouvé débordé au point de retarder la séance ! J’étais placé un peu loin, mais le plaisir de voir et d’entendre surtout la douce voix d’Hayamin m’a fait grand plaisir ! Il s’agissait d’un jeu de questions/réponses où chacune répondait à tour de rôle sur des thématiques en rapport avec la série. Saori Hayami a répondu à toutes les questions avec beaucoup d’humour, de charme et d’élégance (je sais je ne suis pas du tout objectif). On a même eu droit à 2 scènes de doublage en direct par chacune des deux invitées (vous aurez compris où allait ma préférence!). La seiyuu japonaise a tout déchiré bien sûr même si la doubleuse française n’a pas démérité dans ce rôle difficile et exigeant de ce personnage à double identité/personnalité. Saori Hayami semble avoir beaucoup apprécié la compagnie d’Adeline Chetail qu’elle venait à peine de rencontrer… c’était mignon !
Cette fois-ci encore, il y avait projection d’un film, et encore une fois le portail était fermé ! Après une longue attente, nous avons été libérés avant de se rendre compte de la marche démesurée à faire pour retourner au RER !!!
Samedi 13
La matinée à commencé en douceur en scène Sakura par le duo shamisen rock Kuni-Ken, rejoint en surprise par la chanteuse Ai Hisano et surtout par le concert des Minichestra ! Ce petit orchestre « classique » composé d’un pianiste, d’un violoniste, d’une violoncelliste, d’un contre-bassiste et d’une flûtiste a fait des merveilles en réinterprétant des musiques d’animés connus (Tokyo Ghoul, Your Name, l’attaque des titans…). Un bon moment qu’il ne fallait pas rater !
Je me suis ensuite dirigé vers la salle Yuzu pour ne pas manquer l’événement de la matinée : la conférence Demon Slayer avec le seiyuu de Tanjirô (Natsuki Hanae) et le producteur d’Aniplex Yuma Takahashi ! Afin d’être bien placé, j’ai assisté avant à l’annuelle conférence Crunchyroll toujours présentée par Olivier Fallaix. Si cette conférence était promotionnelle et conventionnelle, j’ai été aux anges quand l’invitée surprise a fait son apparition : Saori Hayami !!! Sinon, la conférence Demon Slayer a été globalement moins intéressante que celle sur Spy x Family (j’ai du retard dans Demon Slayer donc j’étais parfois un peu perdu) même s’il y avait une tombola avec 5 shikishi dédicacés à gagner (j’ai perdu!). Mais, le point noir fut l’organisation catastrophique ! Une fois de plus, tout le salon (ou presque) voulait assister à la conférence ! Alors que la conférence avait déjà débuté, les gens continuaient de rentrer et s’asseyaient par terre ou restaient debout dans les allées. Le staff passait tout le temps derrière moi pour dire aux gens de ne pas rester là… Un véritable cauchemar qui a duré environ la moitié de la conférence ! La conférence s’est terminé par le seiyuu qui a dédicacé la grande malle d’un cosplayeur en Tanjirô et une boîte de Funko pop d’une toute petite fille.
Le début de l’après-midi a lui était marqué par la prestation exceptionnelle du groupe Kimono x Dance Project. Un spectacle assez difficile à décrire avec un multitude de tableaux : un défilé de mode de kimonos, une démonstration artistique de sabre, une danse des sushis !, un aveugle qui se baladait avec un poisson en laisse, ou une exceptionnelle danse de groupe synchronisée à la perfection avec des mouvements un peu robotiques. Une pure merveille de beauté et de talent !
Double concert endiablé des Kannagi Rabbits (Tsubame) et des Iiidolls (Kamo) où je me suis fait gentiment bousculer par les wotas déchaînés (les fameux piou, piou, piou, piou, piou!), avant de faire quelques boutiques (pas de chance aux gatchapon non plus) et de me balader dans l’exposition hommage à Buichi Terasawa (l’auteur de Cobra). Un petit mot sur le pop up store Nintendo avec des produits exclusifs qu’on ne peut trouver qu’au Japon ou aux Etats-Unis… beaucoup trop d’attente pour des produits chers et pas forcément intéressants. Donc, faire l’impasse était hélas nécessaire.
La journée s’est achevée par un autre concert des Kannagi Rabbits en scène Ichigo. Cela fait plaisir d’assister à un vrai concert dans une vraie salle ! Évidemment, salle cosplay oblige, difficile d’avoir une bonne place.
Troisième soir d’affilé, ce fut le bazar pour sortir, avec une très longue marche sous la pluie… une horreur !
Dimanche 14
Dernier jour de la convention, c’était aussi le dernier jour pour obtenir la dédicace des Iiidollls au tirage au sort… et gagné !
Donc, après avoir gagné au tirage au sort et raté le spectacle de Hyakki-Yako (commencé plus tôt que l’ouverture normale du salon, une aberration !), j’ai pu assister au spectacle de taiko proposé par Wako Rising Sun. Un très bon spectacle, très bien rythmé (sans détruire les oreilles) et avec de très beaux costumes. Là aussi, une très bonne surprise !
Retour en Tsubame pour la fin du concert de Starysky, qui même s’il ne m’intéresse pas, à chanté une chanson pleine d’auto-dérision où ils reprenaient directement en paroles les commentaires assassins laissés sur les réseaux sociaux… On s’est bien marré avec Olivier ! Les choses sérieuses reprennent avant l’avant-dernière représentation, toujours aussi enflammée, des Kannagi Rabbits.
Nouvelle pause culturelle en Sakura avec la double conférence Katsura Sunshine et Tonikaku (en fait 2 spectacles différents à la suite). Le 1er était censé faire du rakugo et à finalement fait du stand up culturel en kimono, et l’autre passait son temps en slip à faire semblant d’être nu… « pas de soucis, j’ai mon slip ! ». Si le 1er était trop drôle sans être hilarant, le 2ème, je l’espère, ne restera pas dans les anales de Japan Expo (sans jeux de mots!). J’ai ensuite revu en entier Senju Shishi Lion qui bien que plus traditionnel est toujours aussi soporifique (désolé).
Avant dernier concert des Iiidollls, toujours aussi kawaii, avec la petite Nanami-chan toute émue qui n’a pu retenir ses larmes… Elle était toute mignonne ! Le concert fut suivi par une belle séquence de dédicaces (sans high five cette fois-ci) où j’ai pu baragouiner quelques mots dont quelques-uns à la pauvre Nanami (« namida » et « sabishi »). J’ai bien aimé la façon dont elles prononçaient mon prénom, c’était marrant ! Et quand l’une d’entre elle m’a dit « hajimemashite » j’ai répondu « kochira koso » et elles étaient épatées et disaient « nihongo jôzu » . Elles m’ont toutes demandé si je retournais les voir en yuzu, j’ai répondu « iku ! ». C’était bien marrant !
La journée et le salon se sont donc terminé en yuzu avec le concert DJ/électro de Tetsuya Komuro. Un grand producteur de musiques d’animés qui nous a fait un mix live de ces compositions les plus célèbres mélangé à une projection d’images générées par intelligence artificielle en direct. Le point d’orgue de ce concert peu ordinaire, les ambiances DJ/électro ne m’étant pas familières, fut la reprise des chansons de City Hunter, « Running to Horizon », la mondialement célèbre « Get Wild » pour finir par la mélancolique « Still Love Her ». Un grand moment !
Cette année s’est donc terminée en Yuzu, comme l’année précédente, par une Yuzu Idol Party, avec Moe Anzu (une Idol qui mange!), les Iiidolls et les Kannagi Rabbits. 15mn chacune et l’affaire était vite bouclée malgré la ferveur toujours intacte des wotas.
Un dernier tour des boutiques qui remballaient et à nous quittâmes le salon à reculons...
Conclusion? Une année marquée par une affluence annoncée comme plus faible… mais où finalement il semblait y avoir un peu plus de monde chaque jour, beaucoup de rediffusions, peu d’invités exceptionnels, des couacs majeurs dans l’organisation… Mais quand-même de très beaux spectacles traditionnels, des concerts amusants, des dédicaces et des photos. Il me reste encore maintenant à trier mes quelques 500 photos et vidéos... et surtout à récupérer de ces 4 jours intensifs et physiquement éprouvants !
J’espère que mon compte-rendu vous aura plu et je remercie ceux qui m’auront lu avec intérêt jusqu’à la fin
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on 06 juillet 2024 - 20h44
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on 05 juillet 2024 - 05h59
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on 01 juillet 2024 - 21h15
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on 01 juillet 2024 - 05h22
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on 24 juin 2024 - 11h08
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on 23 juin 2024 - 18h13
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on 23 juin 2024 - 09h13
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on 22 juin 2024 - 16h42
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on 20 juin 2024 - 06h04
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