Manga - Volume 8
Débuté par tcv, mars 05 2012 22h14
7 réponses à ce sujet
#2
Posté 12 mai 2012 - 10h54
Je vais un peu étoffer ce sujet en donnant mes commentaires sur ce tome 8.
La traduction est toujours au même niveau, pas parfaite mais dans une très bonne moyenne.
On peut quand même s'étonner qu'Hikaru appelle Kyosuke tantôt "chéri" et tantôt "darling". Le langage est aussi parfois grossier, Hikaru traite Kyosuke de c** alors que la VO serait plutôt le classique "baka" (traduit généralement par "idiot").
Le passage du kaléiodoscope donne un côté un peu mignon à Madoka que l'on ne lui connaissait pas. Comme quoi, si ses parents avaient été plus présents pendant son enfance, elle n'aurait sûrement pas eu le même caractère.
J'ai beaucoup aimé le chapitre sur le concours de photos, surtout la fin avec la fameuse photo non retenue que l'on retrouve dans l'artbook Emotion. Le meilleur moment de ce tome pour ma part.
Les chapitres sur Okinawa ne sont pas exceptionnels, de même que le voyage dans un monde parallèle ou l'échange de corps avec Kazuya. Le sentiment de déjà-vu est un peu trop évident.
Par contre, le coup de théatre final dans le dernier chapitre m'a bien fait marrer.
La traduction est toujours au même niveau, pas parfaite mais dans une très bonne moyenne.
On peut quand même s'étonner qu'Hikaru appelle Kyosuke tantôt "chéri" et tantôt "darling". Le langage est aussi parfois grossier, Hikaru traite Kyosuke de c** alors que la VO serait plutôt le classique "baka" (traduit généralement par "idiot").
Le passage du kaléiodoscope donne un côté un peu mignon à Madoka que l'on ne lui connaissait pas. Comme quoi, si ses parents avaient été plus présents pendant son enfance, elle n'aurait sûrement pas eu le même caractère.
J'ai beaucoup aimé le chapitre sur le concours de photos, surtout la fin avec la fameuse photo non retenue que l'on retrouve dans l'artbook Emotion. Le meilleur moment de ce tome pour ma part.
Les chapitres sur Okinawa ne sont pas exceptionnels, de même que le voyage dans un monde parallèle ou l'échange de corps avec Kazuya. Le sentiment de déjà-vu est un peu trop évident.
Par contre, le coup de théatre final dans le dernier chapitre m'a bien fait marrer.
#3
Posté 13 mai 2012 - 10h24
Le mot c** ne me semble pas forcément inapproprié, si on veut exprimer une certaine violence des sentiments.
Je m'étais rendu le mercredi après-midi au Virgin des Champs-Elysées.
Ils n'avaient pas encore mis le tome 8 en rayon.
Par contre, ils ont mis KOR dans la section Shojo plutôt dans celle des Shonen qui était déjà bien remplie. Encore un vieux débat en perspective
Je m'étais rendu le mercredi après-midi au Virgin des Champs-Elysées.
Ils n'avaient pas encore mis le tome 8 en rayon.
Par contre, ils ont mis KOR dans la section Shojo plutôt dans celle des Shonen qui était déjà bien remplie. Encore un vieux débat en perspective
#5
Posté 13 mai 2012 - 14h46
Je pense que le niveau de langage est important et qu'il doit rester correct dans une oeuvre "tout public".
Je ne suis pas hostile au langage grossier, cela dépend vraiment de l'oeuvre.
Par exemple, la 1ère traduction du Roi Leo (Glénat) est pour moi un exemple typique de ce qu'il ne faut pas faire pour ce chef-d'oeuvre grand public (même si je connais pas les termes de la VO). Par contre, j'ai adoré les insultes "trés fleuries" dans la Caste des Méta-Barons (Humanoïdes Associés) mais qui cette fois-ci sont destinées aux adultes.
A moins que je ne sois trop "vieux jeu" sur le coup
KOR est bien un shônen ne serait-ce par le fait que le personnage principal est masculin. Donc le point de vue et les situations (plus ou moins coquines) sont forcément destinés à un public masculin. Le triangle amoureux est constitué d'un garçon et de deux filles, dans un shôjô ce serait l'inverse. Mais la prédominance de scènes romantiques peut aussi intéresser un public féminin.
La codification japonaise est trés spécifique mais tant à s'affranchir peu à peu de ses limites. Il y a notamment des auteurs femmes qui écrivent des shônen à succès telle Hiromu Arakawa...
(Désolé pour le H.S)
Je ne suis pas hostile au langage grossier, cela dépend vraiment de l'oeuvre.
Par exemple, la 1ère traduction du Roi Leo (Glénat) est pour moi un exemple typique de ce qu'il ne faut pas faire pour ce chef-d'oeuvre grand public (même si je connais pas les termes de la VO). Par contre, j'ai adoré les insultes "trés fleuries" dans la Caste des Méta-Barons (Humanoïdes Associés) mais qui cette fois-ci sont destinées aux adultes.
A moins que je ne sois trop "vieux jeu" sur le coup
KOR est bien un shônen ne serait-ce par le fait que le personnage principal est masculin. Donc le point de vue et les situations (plus ou moins coquines) sont forcément destinés à un public masculin. Le triangle amoureux est constitué d'un garçon et de deux filles, dans un shôjô ce serait l'inverse. Mais la prédominance de scènes romantiques peut aussi intéresser un public féminin.
La codification japonaise est trés spécifique mais tant à s'affranchir peu à peu de ses limites. Il y a notamment des auteurs femmes qui écrivent des shônen à succès telle Hiromu Arakawa...
(Désolé pour le H.S)
#8
Posté 13 août 2019 - 17h23
La page Facebook italienne de KOR en a aussi parlé (message du 30/07/2019).
https://www.facebook...oad.it/?fref=ts
(si on clique sur les images, on a un aperçu un peu plus large)
Sky is the only limit
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