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Manga - Volume 1


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#41 tcv

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Posté 20 avril 2024 - 08h42

Le chapitre 8 a inspiré l'épisode 5 de la série TV. Il se passe pendant la Golden Week. On va y découvrir l'Abcb. Les circonstances de sa découverte par Kyosuke sont différentes entre le manga et la série TV. La fin est similaire avec toutefois le banc qui est absent dans le manga.
Sky is the only limit

#42 tcv

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Posté 21 avril 2024 - 16h52

Pour rapport à la version J'ai Lu, la version Tonkam du tome 1 comporte en plus une postface de Kazumasa qui évoque "Bohemian Glass Street" (voir ce sujet) et un courrier des lecteurs (c'est vrai pour la 1ère édition mais je ne sais pas s'il est aussi présent dans la réédition du tome 1).


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#43 tcv

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Posté 21 avril 2024 - 20h07

Pour distinguer la 1ère édition de la 2ème édition Tonkam, on a le numéro ISBN qui se trouve sur la jaquette.

1ère édition: 978-2-8458-0956-7:

2ème édition: 978-2-7595-0823-5


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#44 Kody

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Posté aujourd'hui, 22h48

Je redécouvre ce premier volume dans sa version couleur. Il me laisse une très bonne impression. L'auteur réussit parfaitement à faire communiquer Madoka par le regard. On la voit surprise, sceptique, mélancolique, émue, passablement énervée... Sa gamme d'expressions est clairement plus large que celle d'Hikaru. C'est une bonne manière de montrer la complexité ou maturité du personnage. Mais je réalise qu'on peut aussi suivre ses pensées dans cette version, contrairement à l'anime. Ca ne gache rien, car Madoka conserve son aura de mystère sur le fond. Elle a ses raisons. On ne sait encore rien de son passé par exemple. La présence du frère d'Hikaru dévoilerait sans doute trop vite ce passé de Sukeban aux lecteurs. La suppression du personnage est donc un bon choix de la part de l'éditeur. Le personnage est subtil dans ses émotions, mais balance dans les extrêmes, comme lors de la scène finale du volume (ABCB). On comprend donc bien les personnalités respectives des personnages, tout en laissant une part d'ombre sur Madoka. On se familiarise avec eux, mais on veut en savoir plus. Objectif atteint. 

 

Le pouvoir est aussi annoncé de manière indirecte, par le contact avec la famille. On le voit en 2 panneaux seulement et de manière comique, ce qui en dédramatise l'existence. C'est peut-être ici une façon d'avertir les lecteurs que cette histoire ne reposera pas uniquement sur cet aspect extraordinaire. Ce sera au contraire la sublimation d'une histoire ordinaire, celle d'un rapprochement. Sur le plan graphique, Matsumoto a trouvé des manières créatives de représenter la lévitation ou la téléportation en quelques traits. C'est simple, mais cela marche. 

 

Dernier point, dans l'anime, l'école est représentée avec des couleurs blafardes dans les premiers episodes, comme pour symboliser qu'il s'agit encore d'un lieu hostile pour certains personnages. On apprécie d'autant plus les scènes extérieures, dont l'ABCB, que l'on perçoit vite comme un refuge. Mais dans le manga (en noir et blanc), on ne peut pas jouer sur cet aspect. Dans la version couleur (plus tardive), l'éditeur a fait le choix de ne pas reprendre ce contraste. L'école est baignée de lumière. Je me demande donc si Matsumoto a repris ce contraste dans la version de 1984 (mais d'une manière qui m'échapperait) ou si c'est simplement une création de l'anime. 

 

Le cliffhanger de fin est intéressant sur le plan narratif. L'auteur nous propose une sorte de flash affectif, en trois panneaux seulement. Madoka vient de se jeter dans les bras de Kyosuke. Tout va tres vite et cela reste incertain. Ca nous met dans la perspective de Kyosuke. On revient vers les panneaux pour vérifier ce qu'il vient de se passer, comme il le fait en se remémorant encore et encore le geste de Madoka. Matsumoto en fait à la fois un moment incertain et inoubliable. 






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