Punch

Ho, ho, ho, on devrait voir ce film chez nous pour Noël (le 25 décembre exactement) sous le titre français "Albator Corsaire de l'Espace".

 

Tant qu'ils ne nous changent pas les musiques cela devrait aller. Croisons les doigts 

Hop, hop, hop, j'ai trouvé un moment pour aborder l'épisode 24 !

 

Cet épisode voit souffler un vent nouveau avec l'arrivée d'un nouveau personnage : Kazuya Tojo (ou Tôjô je ne sais pas) le petit cousin de Kyosuke !

 

Ce sacré chenapan n'a que 5 ans mais c'est un véritable petit monstre ! Autant il est détestable avec les Kasuga autant il s'entend bien avec Jingoro, Madoka et Hikaru.

 

Il est marrant de voir à quel point Madoka craque complètement pour Kazuya parce qu'il ressemble à une version rajeunie de Kyosuke. Hikaru, toujours à côté de la plaque, est persuadé qu'il s'agit de son fils

 

Mais Kazuya, en plus d'être plutôt perspicace en ce qui concerne les sentiments "primaires", a le don de télépathie !

 

Cet épisode est important à plus d'un titre. On découvre une Madoka de plus en plus mignonne et féminine (je ne résiste pas à son clin d'œil accompagné d'un tirage de langue du plus bel effet !) et une Hikaru plus fragile que d'habitude (Kyosuke se laisse même aller d'un "je serais toujours là pour toi").

 

A noter, la très belle scène du train (se rapprochant d'une dans Maison Ikkoku) où Kyosuke et Madoka se retrouve seuls à seuls (merci qui ? M. le Pervers ) où elle fait lui une proposition assez osée... avant que tout ne finisse en eau de boudin (une habitude de plus !).

 

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la tornade Kazuya met un sérieux coup de pied dans la stabilité du triangle, où seule Hikaru semble ne pas comprendre la situation...

 

Voilà pour cet épisode, la suite... un de ces jours (je suis vraiment à la bourre moi !) !!!

De retour pour l'épisode 21

 

Pour résumer l'épisode, notre groupe d'amis s'ennuie copieusement pendant leur camp d'entraînement de tennis. Kyosuke file à l'anglaise et rencontre une mystérieuse jeune fille ressemblant énormément à Madoka (les lunettes en plus).

 

Kumiko Oda (ou plus précisément Oda Kumiko selon la dénomination japonaise qui place toujours le nom avant le prénom) est vraiment très entreprenante avec Kyosuke ! Le pauvre est complètement troublé et envoûté par cette beauté (mettez-vous à sa place messieurs !) et ne peux qu'accepter de la suivre dans la montagne. Les intentions de la jeune fille sont claires (pas besoin de vous faire un dessin !) mais saura t-il résister à la tentation ? Mais alors que signifie cet air triste et cette petite larme ?

 

De son côté Madoka n'en perd pas une miette. Son air désapprobateur exprime t-il la colère ou la jalousie ? Il doit y avoir un peu des deux...

 

Avec l'arrivée (opportune ?) de l'orage, tout le monde s'inquiète de l'absence de Kyosuke, surtout Madoka (qui laisse parler son saxophone) qui doit en plus consoler Hikaru. Les recherches doivent attendre la fin de l'orage.

 

Le climax de l'épisode se situe donc quand Kumiko et Kyosuke se retrouvent, presque nus, seuls dans la cabane... Une fois de plus, ce n'est pas la société japonaise qui le retient (personne ne peut les voir) ce sont les valeurs morales de Kyosuke et l'empathie qu'il éprouve qui vont réellement l'empêcher de commettre l'irréparable.

 

Madoka (a-t-elle du sang indien pour pister aussi bien ?) retrouve la première Kyosuke en fâcheuse posture. Il tente, une fois de plus, de s'excuser et de s'expliquer auprès d'elle mais reçoit en guise de réponse une mémorable baffe !!! Est-il besoin de préciser à ce stade que Madoka sait que Kyosuke n'a rien fait, et que la gifle est seulement due à l'inquiétude qu'il lui a causé à elle et à Hikaru ? C'est en tout cas ma vision de la situation.

 

Kumiko va lever, partiellement, le mystère sur ses motivations, et ainsi gagner l'amitié de Madoka toujours aussi compatissante. La scène des lanternes flottantes (cherchez O-bon sur Internet) est très belle mais aurait mérité un peu plus d'éclat (qualité d'image du dvd ?). Une fois de plus, tout est bien qui finit bien.

 

Pour terminer, je vais revenir sur les symboliques des papillons et de la fleur. La danse amoureuse des papillons (toujours montrés en couple dans l'épisode) est très parlante et peut aussi se prendre dans le sens de "papillonner" (ou aller de fleur en fleur et donc ici de fille en fille). La fleur unique, que l'on voit aussi régulièrement, peut symboliser la virginité de Kumiko (d'où l'expression "donner sa fleur"). Vous comprendrez aisément, que je ne m'étale pas sur le sujet...

 

Voilà c'est tout pour cette fois-ci, à bientôt !

C'est parti pour l'épisode 20 !

 

J'adore vraiment le 2ème opening "Orange Mystery" qui fait vraiment très été Le second ending est aussi très bien réalisé !

 

Ce nouvel épisode estival entraîne nos amis dans un camp d'entraînement de tennis.

 

On fait la connaissance d'un professeur de tennis qui joue le bellâtre et qui m'est fortement antipathique ! Un vrai copier-coller de Mitaka de Maison Ikkoku !

 

Suite à une nouvelle "intervention" spectaculaire de Kurumi, Kyosuke, archi-nul en sport, se retrouve dans le groupe A où sont réunis les meilleurs joueurs dont fait évidemment partie Madoka. Hikaru est triste de se retrouver séparée de ses amis mais Madoka lui promet qu'elle et Kyosuke viendront manger avec elle.

 

Mais voilà que le prof de tennis défie Kyosuke dans un match ! Ne voulant pas passer pour un nul complet, il tente maladroitement de s'entraîner tout seul. Madoka le retrouve et lui propose son aide pour des cours "très" particuliers. Bien sûr, si Kyosuke est émoustillé par le contact physique avec elle, Madoka ne pense vraiment pas à mal dans cette situation. C'est au plus mauvais moment que débarque Hikaru inquiète de ne pas voir ses amis venir manger avec elle. Sa réaction est des plus violentes : elle ne cherche même pas à comprendre et s'enfuit ! Serait-ce enfin un signe de maturité et de clairvoyance chez notre pauvre Hikaru ? Qu'est-ce qui la rend triste ? Le fait qu'il n'aient pas tenus leur promesse ? Qu'ils "s'amusent" tous les deux sans elle ? Se rend t-elle compte de quelque chose qu'elle ne voulait pas voir jusqu'à présent ? Quoi qu'il en soit, cette fois-ci, Hikaru est vraiment contrariée

 

Kyosuke et Madoka font un petit entraînement ensemble car visiblement le prof est trop occupé pour faire le match qu'il avait proposé ! Madoka est vraiment sexy en tenue de tennis   C'est dingue, tout lui va bien ! Elle semble vraiment apprécier de jouer avec Kyosuke qui peine pourtant à lui renvoyer la balle (avec l'aide du Pouvoir en plus !).

 

Hikaru se sent complètement délaissée par ses amis même s'ils ont bien remarqués son désarroi. Elle s'enfuit et tombe sur l'horrible prof de tennis cherchant lui-même a éviter ses trop nombreuses admiratrices. Hikaru, trop faible pour lui résister, se laisse emmener en bateau mais finit à l'eau ! Notre super prof ne sachant pas nager, c'est Kyosuke qui va la sauver en usant de tout son Pouvoir (et donc de ses forces physiques).

 

Malgré tout, elle est toujours fâchée et accepte de voir le prof à la soirée ! Kitakata jette finalement son dévolu sur Madoka qui elle ne se laisse pas faire ! Autant j'aime le côté sensible de Madoka, autant j'aime sa capacité à se défendre dans des situations pareilles ! Bravo Madoka, il ne l'a pas volé cet abruti ! Hikaru retrouve Kyosuke endormi et croyant qu'il s'inquiétait pour elle, lui pardonne (enfin !) avec un petit bisou ! Madoka parachève cette soirée bien mouvementée en proposant une petite picole entre filles pour sceller leurs réconciliations !

 

En définitive, que dire de cet épisode ? Il marque incontestablement un tournant plus adulte et réaliste de la série de par la personnalité d'Hikaru car elle ne pardonne plus aussi facilement et rapidement qu'auparavant. Cela va-t-il durer ? On voit aussi que Kyosuke et Madoka sont prêts à tout pour leur amie et qu'ils souhaitent que leur amitié perdure le plus longtemps possible.

 

Sinon, l'idée d'un camp de vacances sportif ne vous choque t-elle pas ? Ils ne sont même pas libres durant leurs vacances sans que l'on leur impose une activité ! Avaient-ils vraiment la possibilité de ne pas y aller ? La cohésion du groupe leur impose forcément d'y participer.

 

A la prochaine fois

Voici mon commentaire, avec un peu de retard, de l'épisode 18

 

Déjà, cet épisode inaugure véritablement les "épisodes vacances" qui sortent Kor de la comédie scolaire classique pour donner un nouveau souffle à la série.

 

Le pitch est on ne peut plus simple : nos quatre amis partent en vacances près de la mer. Ils vont faire la rencontre d'une étrange jeune femme qu'ils suspectent d'être un fantôme.

 

On découvre donc le talon d'Achille de Madoka : la peur du surnaturel. Ce petit défaut la rend définitivement plus mignonne et plus accessible pour Kyosuke (et pour nous aussi !). Il ne perd d'ailleurs pas une occasion pour en profiter et se moquer gentillement d'elle (d'habitude c'est le contraire !). Ce qui nous donne droit à de très belles scènes romantiques (même si les arrière-plans de l'épisode laissent à désirer !).

 

J'ai du mal à comprendre l'attitude de Madoka envers Koto. Ce n'est pas tant l'aspect solidarité féminine et de compréhension mutuelle (elle remarque tout de suite la grande tristesse de la surfeuse) qui me gêne. C'est plutôt pourquoi elle va risquer sa vie à sa place (pour une inconnue en plus !) sachant qu'elle n'a aucune chance de réussir ? D'ailleurs, si une telle situation se présentait, le fait que Madoka prenne la place de Koto n'aurait aucune valeur. C'est une action personnelle qui ne peut être faite que par l'intéressée ! Autre chose, l'âme du fiancé décédé aurait-il une raison valable d'aider une étrangère ?

 

Bref, cette idée scénaristique destinée à faire sauver Madoka par Kyosuke avec son Pouvoir ne m'a pas convaincu. Le geste est très beau et très romantique certes, mais cette folie inconsciente n'était pas nécessaire !

 

Je termine une fois de plus mon commentaire sur une touche culturelle pour parler cette fois-ci du surnaturel au Japon. Ce pays est toujours coincé entre la tradition (les samouraïs) et la modernité (les robots) mais accorde une grande importance à la spiritualité et aux superstitions (le lacet de chaussure qui casse, le brin de thé qui flotte à la verticale dans la tasse, le planté de baguettes dans un bol...). A travers leurs religions (bouddhiste et shintoïste) mais aussi à travers la culture populaire des yôkai et des multiples légendes qui y sont associés. Un exemple célèbre de yôkai peut être vu dans le film d'Isao Takahata "Pompoko" avec une magnifique séquence de parade monstrueuse. L'emploi du surnaturel dans ces récits par Izumi Matsumoto n'a donc rien d'irrationnel mais fait bien écho avec le quotidien des japonais. Dans la plupart des séries, nous avons donc autant droit à des épisodes sur la Saint-Valentin ou Noël qu'à des épisodes qui font flipper !

 

A la prochaine fois avec un très bel épisode

Enfin des nouvelles d'Izumi Matsumoto

 

Je n'ai pas tout compris avec la traduction automatique, mais il est sorti de l'hôpital ce qui est déjà une bonne nouvelle

 

On a même droit à un petit dessin (inédit ?) de Madoka :

 

Après déjà de bien beaux commentaires, voici le mien concernant cet épisode 16

 

Le point central de cet épisode est une nouvelle fois le mensonge avec une touche de science-fiction cette fois-ci !

 

Tout d'abord, l'épisode commence par un moment romantique partagé entre Kyosuke et Madoka ("Aimer c'est regarder ensemble dans la même direction"). On peut remarquer que c'est la première fois qu'un épisode commence ainsi, car d'habitude, le tête à tête amoureux se passe en fin d'épisode.

 

La supercherie est vite révélée par un nouveau tour de Kurumi : un néon rond chargé de lumière par le Pouvoir (et pas un ovni taille réelle !)

 

Kyosuke prend en photo l'ovni (pourquoi avait-il un appareil photo avec lui, mystère ?) mais demande à Madoka de garder le secret pour éviter les ennuis liés à la découverte du Pouvoir. J'interprète cette demande d'une façon plus intime : il demande en fait à Madoka de garder le secret au sujet de leur relation et elle accepte facilement pour ménager Hikaru.

 

Hikaru met les pieds dans le plat en répandant la rumeur dans tout l'école ! Elle va même se déformer tel le jeu du "téléphone arabe" pour arriver à "Madoka est sortie avec un extraterrestre" ! Une fois encore j'y vois un double message : j'assimile très bien Kyosuke à ce rôle d'extraterrestre de par ses pouvoirs paranormaux !

 

Une fois de plus, c'est Madoka qui va faire les frais de la rumeur en écho à son passé de présumée délinquante. Kyosuke ne peut dire la vérité pour ne pas parler du Pouvoir mais il souffre du tort qu'il lui cause ainsi. Les véritables amis de Madoka sont présents : Hikaru, déchirée entre les deux versions, et Yûsaku, qui font ce qu'ils peuvent pour l'aider.

 

Kyosuke est prêt à dire la vérité mais son père, prise de catch à l'appui !, lui conseille de ne pas le faire. Madoka semble alors renouer avec son attitude passée car elle est fâchée après lui. Elle ne l'oublie pas pour autant car elle refuse la cigarette que l'on lui propose. Autre symbolique et rappel de l'épisode 1 : le chapeau de paille rouge confondu avec un ovni.

 

Manami et Kurumi regrettent leur attitude mais Kyosuke prend tout sur lui pour retrouver Madoka partie en moto. La course poursuite douloureuse ressemble à une épreuve physique ou à une auto-flagellation en guise de punition pour expier le tord qu'il lui a causé. Il arrive d'ailleurs tel Mary Poppins en parapluie directement à ses pieds !

 

Après un tel parcours de repentance, Madoka pardonne à Kyosuke son attitude. Elle se moque bien du regard des autres. Ce qui compte pour elle, c'est le moment qu'elle a passé en sa compagnie. Elle ne veut pas que leur histoire d'amour ne soit qu'un mirage, un rêve, ou un mensonge mais qu'elle soit bien réelle.

 

La fin est typique de la série : un véritable ovni apparaît aux yeux de tous ! Il ne faut bien sûr ne pas y chercher une explication logique mais plus un "délire" des scénaristes pour finir sur une touche comique.

 

Quelques notes pour finir :

 

De quel film provient l'extrait (en anglais) du début de l'épisode ? En tout cas, le film regardé par les jumelles doit être "Rencontre du 3ème Type" (jamais visionné en entier).

 

La très dynamique poursuite vélo/moto me rappelle une fois de plus la 5ème oav de Golden Boy.

 

Les marques de motos et de casques sont réelles, comme la Yamaha FZR Genesis !

 

La symbolique du rond : les bijoux ronds portés par Madoka et les lumières rondes du Moëbius font partie des objets ronds présents dans l'épisode

 

"Okutama" et non pas Okutuma est une des nombreuses villes constituant Tôkyô. Vous pouvez vérifier sur Google Image les paysages sont très ressemblants !

 

A la prochaine

Voici mon commentaire sur l'épisode 15. Je vais essayer de ne pas trop reprendre ce qui a été déjà bien dit au-dessus

 

Le thème de cette épisode est la "rupture" entre Madoka, Kyosuke et Hikaru d'une part et de Manami et de Kurumi d'autre part.

 

Je ne vais pas trop revenir sur le cas des jumelles car il a été décortiqué par Ange Capricieux lors de sa question de la coupe Takashi. Ce que je peux rajouter, c'est que c'est bien la première fois qu'elles se disputent aussi violement et aussi longtemps. Je pense qu'elles doivent se chamailler souvent (comme toutes les sœurs) mais cette dispute contraste avec leur attitude habituelle d'être toujours sur la même longueur d'onde (il ne faut pas oublier que ce sont des jumelles !). Cela rajoute un effet de réalisme et de crédibilité dans cet épisode pas comme les autres.

 

Venons en maintenant à nos trois héros.

 

Tout commence par Hikaru : elle doute des sentiments de Kyosuke à son égard et va demander conseil à Madoka. Cela fait déjà un moment que le triangle existe et Hikaru semble enfin sortir de sa "bêtise" habituelle (propre à l'animé) pour remarquer que Kyosuke s'intéresse à quelqu'un d'autre qu'elle.

 

Madoka éprouve une profonde affection pour Hikaru qu'elle considère comme sa petite sœur. Leur lien est tellement fort qu'elle ne peut lui refuser quoique ce soit. Le souvenir du "trèfle à quatre feuilles" est très parlant et montre son esprit de sacrifice envers sa cadette. Ce type d'exemple revient souvent dans la série ou dans les oav (comme dans "je suis un chat, je suis un poisson"). Après une plante est éphémère et sans importance mais qu'en est-il de Kyosuke ? N'occupe t-il pas une place irremplaçable dans sa vie ? A ce stade de la série, on peut donc penser qu'Hikaru est plus importante pour Madoka que Kyosuke. Pourtant, la scène où elle joue du saxophone résume parfaitement ses sentiments les plus profonds. On remarque à peine le subtil mélange de la sueur et des larmes...

 

Un point capital de cet épisode : le mensonge de Madoka. Ce n'est pas un mensonge important en soit car il n'a pas de conséquence désastreuse. Mais c'est bien la première fois que l'on la voit mentir aussi directement à ses amis. Cela ne lui ressemble pas, elle qui déteste le mensonge chez les autres. Une fois de plus Master lit en elle comme un livre ouvert, et accepte sans hésiter d'être son complice (et de mentir lui aussi !).

 

Kyosuke est dans une situation encore plus embarrassante que d'habitude. Il tient à ses deux amies de cœur et veut les garder toutes les deux. On en revient toujours au dilemme : "comment ménager la chèvre et le chou ?" Il à convaincre Hikaru par un gros mensonge habituel (il l'aime même si ce n'est pas de la façon dont elle souhaiterait), mais Madoka ne veut pas lâcher aussi facilement l'affaire. Kyosuke réellement amoureux de Madoka, persistera à l'appeler au téléphone jusqu'à ce qu'elle cède (j'adore son "biiip"). Les mots lui manquent, mais son insistance suffira à combler ce manque. A noter une Madoka sublimée par le character design d'Akemi Takada lorsqu'elle sort de la douche 

 

L'épisode s'achève donc sur un statu quo avec l'indécision habituelle de Kyosuke à choisir entre Madoka et Hikaru. On sent bien que le triangle n'est pas si solide que cela, il a même clairement montré ses limites dans cet épisode. C'est bien Kyosuke, par ses efforts, qui a permit que leur relation continue comme avant. Mais pour combien de temps encore ?

 

Voilà c'est la fin de mon commentaire (et du dvd n°3), je vous dis à la semaine prochaine

 

P.S : c'est le sucre qui est dans la limonade qui est monté à la tête de tcv

Je rajoute quelques photos d'une cosplayeuse en Madoka plutôt mignonne :

 

 

 

 

 

C'est pas la peine de me le demander, je n'ai ni son nom, ni son adresse, ni son numéro de téléphone

Suite et fin de ma journée.

 

Les Ninjaman Japan sont un groupe de visual kei (les plus célèbres dans le monde étant les Kiss pour vous donner une idée du genre), ils misent donc beaucoup sur les costumes et les chorégraphies scéniques. Je m'attendais à avoir du spectacle, je n'ai pas été déçu ! Déjà, rien que de voir le chanteur s'étirer comme un pratiquant d'art martial donne la tonalité !

 

Le show commence par l'arrivée (à peine déguisée) des "méchants" avec des énormes lunettes de soleil. J'ai tout compris de suite (contrairement au reste de la salle !) je les ai hués cash avant de m'arrêter rapidement dans ce grand moment de solitude ! Ils ont commencés par nous demander si on aimait les Ninjaman Japan pour dire après qu'ils allaient leur faire leur fête (en gros ils parlaient en japonais !) en tombant leur masque. Arrivent les "héros" derrière de grands draps noirs et la baston commence ! L'ambiance est digne d'un Bioman en live avec la musique, les acrobaties et les coups, parfaitement synchronisés avec les bruitages enregistrés, qui s'arrêtent à 30cm de l'adversaire ! Les costumes sont à tomber par terre ! Il faut les voir de près pour s'en rendre compte (j'étais au 1er rang ça aide !). L'énergie de ce groupe est communicative et toute la salle était enflammée. J'ai bien rajeuni de plus de 20 ans d'un seul coup !!! Après plusieurs chansons, le spectacle se termine sur le retour des méchants avec cette fois-ci un combat avec l'utilisation d'armes blanches (factices). Chaque membre se bat de sa propre manière, par exemple celui en violet (hum hum la couleur !) a plié en deux le sabre de son adversaire ! Très bon spectacle, malgré quelques longueurs, après j'ai eu la voix cassée pendant plusieurs heures ! Je n'ai pas pu acheter leurs goodies faute de trouver où ils étaient vendus !

 

Il était plus ou moins 16h (il y a eu un peu de retard) quand je suis retourné visiter les stands et pour faire d'autres achats. J'avais jusqu'au 17h45 pour me balader avant le prochain spectacle.

 

J'ai trouvé le coffret collector de Macross à 10€ et une figurine (officielle) de Saber à 30€ (chez Chibi Akihabara).

 

Un petit cosplay Sailor Moon (avec les toilettes comme fond de décor !) :

 

 

Un tour à l'expo Evangelion :

 

 

Une cosplayeuse fatiguée mais superbe !

 

 

Une tête de Titan impressionnante !

 

 

 

 

Un coup d'œil à l'expo Tatsunoko :

 

 

Une petite pause onigiri (il est fou il prend en photo ce qu'il mange ) :

 

 

18h le spectacle des ninja d'Iga commence enfin (avec du retard !).

 

Le maître commence par une séance de mantra et l'utilisation du saï en combat (avec tranchage réel de bâton !). On a droit a un numéro de jonglage avec une ombrelle et un ballon (comme le 1er eye catch de Dragon Ball). Suivi d'un autre numéro avec une ombrelle plus petite et une pièce de 2€ !!!

 

 

S'en suit deux classiques : le sabre caché dans l'ombrelle :

 

 

Le sabre caché dans la canne d'aveugle :

 

 

Une démonstration avec le grappin. Une corde rouge avec un kunai à une extrémité et un crochet de l'autre et un peu de nunchaku pour finir avec une habile kunoïchi.

 

C'est dommage, il n'y a pas eu de lancé de shuriken !

 

18h30 fin du spectacle et dernier achat avant de partir vers 19h : une Kaname Madoka nendoroïd en tenue de maïko (apprentie geisha) à 40€ chez Good Smile Compagny (stand officiel du fabricant).

 

Après une longue marche pour rentrer à la station, le Rer était moins encombré mais il faisait toujours aussi chaud ! Le retour à la Gare de l'Est a été plus rapide même si on n'est pas passé par le même chemin qu'à l'aller ! Le TGV était à 20h13 n'était pas direct (30mn d'attente). Je suis rentré chez moi vers 23h30.

 

Petit bilan de ma journée

 

Je suis très satisfait par mon organisation qui m'a permis de faire presque tout ce que je voulais. J'ai juste raté le spectacle de samouraï en armure pour faire la queue au Live House.

 

Les cosplayeurs sont sympas mais les costumes et ceux qui les portent ne sont pas tous convaincants !

 

Les commerçants ne se pressent pas pour servir les clients, les contrefaçons côtoient les originaux et les prix peuvent parfois être abusés ! Plus de 20€ (je ne me rappelle plus le prix exact) le bluray Ghibli faut pas charrier !

 

Les produits dérivés des artistes sont durs à trouver. Pas moyen de mettre la main dessus ! Tant pis pour eux et tant mieux pour mon porte-monnaie mais c'est dommage quand même !

 

Les cosplays et les produits vendus tournent quasi exclusivement autour des séries récentes ou des phénomènes tels Hatsune Miku...

 

100€ d'achats en photo :

 

 

Les visiteurs sont sales et laissent leurs déchets partout. J'ai failli me casser la figure sur une pub qui traînait par terre !!!

 

Je n'ai pas à me plaindre de l'organisation en général (malgré les retards !). Mais j'ai choisi de venir le vendredi plutôt que le week-end trop chargé. Je peux comprendre les désagréments de certains.

 

Il vaut mieux y aller accompagné sinon la foule et le gigantisme peuvent paralyser les plus introvertis comme moi !

 

Voilà, je crois avoir fait le tour. Si vous voulez d'autres photos ou d'autres détails pratiques n'hésitez pas à me demander

Pour fêter (ou pas) le cap des 10 000 coffrets vendus, voici une petite photo que j'ai prise d'un cosplayeur en Goldorak :

 

 

Je ne sais pas vous, mais moi je l'imaginais plus grand que cela

Et encore Eric ce n'est pas terminé !

 

Une nouvelle sélection :

 

Shôjo Kakumei Utena un animé pas comme les autres avec l'indémodable Zettai Unmei Mokushiroku :

 

 

L'excellent 1er opening de GTO driver's high par l'Arc~en~Ciel :

 

 

 

Le 2ème ending (de mémoire) "Shizuku" :

 

 

Et pour finir je rajoute Blurry Eyes de DNA² par... l'Arc~en~Ciel ! :

 

Je souhaite un très joyeux anniversaire à notre chère Madoka et me permet de lui offrir ce modeste cadeau :

 

Chez nous, on appelle cela un bon vieux "casse-briques".

 

Sinon cette image m'a fait marrer :

 

Après le "succès" de la rubrique consacrée aux OST d'animés, pour ne pas faire de jaloux, j'ouvre aussi celle consacrée à celle des musiques de jeux vidéo.
 
Rôliste oblige, je posterai surtout des musiques de RPG (et assimilés) mais vous êtes libres de poster ce qu'il vous plaît. Dans la mesure du possible, évitez de mettre du "chiptune" ou du "vocaloïd" et préférez les versions symphoniques quand elles existent. S'il y a des spoilers dans les vidéos dites-le !
 
Je commence avec Final Fantasy VII et le bouleversant thème d'Aerith composé par Nobuo Uematsu (spoilers !) :
 

 
Encore du FF avec Final Fantasy X et la chanson "Suteki Da Ne" chantée par Rikki (spoilers !) :
 

 
Du Zelda avec l'intro de Twilight Princess composée par Michiru Yamane (LE jeu qui m'a fait acheter la Wii !) :
 

 
Un petit Chrono Trigger de Yasunori Mitsuda pour la nostalgie :
 

 
Et pour finir un extrait de Dragon Quest par Koichi Sugiyama :
 
http://youtu.be/vamr7qq6hoA
 
Une sélection très personnelle et nostalgique...