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Pikku No Madoka


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67 réponses à ce sujet

#61 CyberFred

CyberFred

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Posté 31 juillet 2019 - 20h51

Pour faire un sous-titre, il faut être concis.

Ta formulation "Ayukawa Madoka, la fille au médiator" me semble la plus appropriée.

 

Remarque: médiator au singulier car elle n'en lance qu'un seul à la fois.

Voir le gif de l'avatar de CyberFred.

 

Mhhh, oui, mais regarde dans l'épisode 37 : elle lance deux lames à la fois contre les deux filles qui gardent l'immeuble du défi entre A-ko et Madoka. Dans Shin KOR III, Madoka est dessinée (page 142) avec 3 lames tenues dans chaque main, donc 6 lames en tout. Donc, elle est techniquement capable de gérer plusieurs médiators à la fois dans un combat.


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#62 tcv

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Posté 31 juillet 2019 - 21h00

Ma remarque ne tient donc pas. Par contre celle d'Olivier d'utiliser le singulier pour indiquer la maîtrise du médiator en tant qu'arme tient la route. Restons sur "la fille au médiator".

 

Cependant ce n'est pas fini. Dans la scène de bataille à la fin de l'épisode 1, il y a aussi un "Pikku no Madoka".

"Madoka, la fille au médiator" serait encore un sous-titre correct ? 


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#63 CyberFred

CyberFred

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Posté 31 juillet 2019 - 23h25

Tous les "Pikku no Madoka" sont prononcés dans l'épisode 1 seulement, trois fois.


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#64 Punch

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Posté 01 août 2019 - 06h12

Oui,la fille au mediator sonne pas mal.

Par contre, et ce n'est que mon avis, il manque un petit quelque chose.

Il manque un terme lié à la fois à la crainte et au respect. Un terme classe ou chevaleresque.

L'utilisation de "louve" si elle n'était pas forcément très pertinente, avait au moins le mérite de renvoyer au côté dangereux de Madoka.

Baltique, si Madoka utilise le médicament, elle lance les cachets, les plaquettes ou les boîtes entières ? :lol:

#65 Baltique

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Posté 01 août 2019 - 08h39

C'est une bonne question. J'avoue que je n'y ai pas réfléchi.

 

A mon sens, les plaquettes ont un côté un peu plus "contendant" et seraient potentiellement les plus dangereuses dans le cadre d'un lancer. Mais j'imagine qu'elle peut aussi utiliser les cachets pour empoisonner ses adversaires les plus fourbes. Pour les boites, c'est plus compliqué. Je n'ai pas encore d'idée mais je la vois bien utiliser les boites de nuit... Hem !  :sign16:

 

Comme je l'ai dit plus haut, "la fille au médiator" me semble plus insister sur le côté "lycéenne asociale" de Madoka et "la louve au médiator" sonne plus comme un vrai surnom de sukeban et insiste sur son côté prédatrice.

 

Après, je partage ton avis et je trouve qu'il manque un petit quelque chose. Mais la langue française est ainsi faite que, quelque soit le qualificatif qu'on accole, on tombe assez vite dans l'excès.

 

Après, si on considère qu'il s'agit plus d'un surnom de sukeban, on peut s'autoriser plus de liberté dans l'adaptation française.

 

"La louve au médiator", c'est, je trouve, pas mal vu. Mais on pourrait aussi dire :

 

"La ronin au médiator"

"Le frelon asiatique"

"Madokator" (contraction de Madoka et de Médiator évoquant Terminator)

"Mado la niçoise"... Ah ! Non ! C'est déjà pris !

 

::dehors::



#66 Olivier

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Posté 01 août 2019 - 09h03

Admettons. Mais alors que vous cherchez à traduire au mieux Pikku no Madoka, qui ne contient aucune allusion de ce genre et qui ne fait pas plus peur qu'autre chose, pourquoi s'evertuer a rendre aussi la traduction française plus inquiétante que la japonaise ? Ce n'est pas plus logique.
Dans Pikku no Madoka, ce qui intrigue Kyosuke ce n'est pas que Madoka soit une yankii ou une tsundere parce qu'il n'en sait encore rien. Il ne l'a pas encore vu se battre. Il sait juste qu'elle était absente en classe et qu'elle ressemble à la fille de l'escalier. Ce qui intrigue Kyosuke dans Pikku no Madoka, c'est le fait qu'un pick soit associé à Madoka. Il est intrigué parce qu'il ne comprend pas pourquoi. Kyosuke et ses soeurs sont l'air d'avoir toujours vécu dans des collèges tranquilles, ils ne sont peut etre initialement pas au courant des sukeban. On voit à leur reaction lors du combat qu'ils ont rarement vu ca. Et c'est quand le mediator vol dans les airs et que Kyosuke reconnaît Madoka qu'il fait l'association avec le pick et son surnom. Il dit d'ailleurs C'est elle.
I'm looking for the red straw hat...

#67 Punch

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Posté 01 août 2019 - 11h00

Ce n'est pas faux Olivier.

Ce qui me gêne aussi, c'est que le mediator n'est pas quelque chose de courant ou de familier pour ceux qui ne sont pas dans l'univers de la musique.

Aussi, du point de vue de la sonorité, pikku fait penser à "pique" donc à un aspect pointu. De là à dire que Madoka est piquante comme un cactus, je n'irais pas jusque là :lol:

Il faudrait peut être ajouter un terme comme pointu ou acéré pour montrer le côté "dangereux" de Madoka ?

#68 Baltique

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Posté 01 août 2019 - 11h02

Tu as tout à fait raison Olivier.

 

"Pkiku no Madoka" n'a rien de menaçant en soi. J'imagine que tout ce que l'on peut trouver de "classe" à cette formule n'existe que dans notre inconscient et dans l'image qu'on a du personnage et que les japonais n'ont pas du tout le même ressenti.

 

Un peu comme quand on traduit littéralement certains titres de films américain en français : ça sonne tout de suite moins classe. Nos amis québécois s'en sont fait une spécialité. Les exemples sont nombreux et connus mais je ne résiste pas au plaisir de vous en citer quelques uns : 

Pulp Fiction - Fiction Pulpeuse

Taxi Driver - Chauffeur de Taxi

Toy Story - Histoire de jouets

 

A noter que la grande mode en France consiste ces derniers temps à proposer un titre anglais complètement différent du titre anglais original :

The Hangover (qui signifie littéralement "Gueule de bois") a été exploité chez nous sous le titre : Very bad trip.

Pitch Perfect est devenu The hit girls

The Purge est devenu American Nightmare

 

Bref, je m'éloigne du sujet.

 

Pour en revenir à cette histoire de ressenti sur la formule "Pikku No Madoka", l'utilisation du terme original japonais fait que, en tant qu'occidentaux, l'on peut plus facilement et de façon inconsciente, y associer tout un tas de nuances qui n'y sont pas forcément au départ. Ca sonne mieux, ça fait plus classe, plus menaçant... dans NOTRE inconscient.

 

Mais à bien y réfléchir, si ces nuances n'y sont pas au départ, utiliser le terme "Pikku No Madoka" parce que ça fait "plus classe" ne revient-il à trahir le sens original ?

 

C'est un problème d'interprétation. Se vouloir plus fidèle revient à fausser notre perception du personnage.

 

En ce sens, le côté presque "anodin" de "Madoka au médiator" serait finalement la traduction qui nous permettrait de cerner le plus fidèlement le sens original.

 

Sur ce, je m'arrête, j'ai le cerveau en surchauffe. J'ai l'impression de sortir d'une dissertation de philo.






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