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La 1ère fanfic de Punch ! Et les suivantes...


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164 réponses à ce sujet

#101 Punch

Punch

    inKoruptible

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Posté 18 juin 2012 - 07h32

Après cette parenthèse "baston" que je n'ai pas souhaité être comique, voici le chapitre 12.

Chapitre 12

Pamela débuta son long récit :

- Depuis toute petite, j'avais pour amie d'enfance une fille prénommée Sabrina. Je suis fille unique et elle ne voyait que rarement sa famille. Je la considérais comme ma grande sœur car elle était plus âgée que moi de deux ans. Nous partagions toutes les deux nos joies et nos peines, nous étions inséparables...

« Jusqu'au jour où nous tombâmes amoureuses en même temps du même garçon. Il s'appelait Maxime, ou de son diminutif Max. Moi, je l'appelais tout simplement "Darling". Il n'avait pourtant rien d'extraordinaire... Doté d'un physique banal, il n'était pas plus doué pour les études qu'en sport. Follement amoureuse, je me jetai littéralement dans ses bras. Sabrina, quant à elle, était plutôt réservée et cachait constamment ses sentiments. Si bien que je mis du temps à comprendre la nature de leur relation.

« Les années passèrent et j'étais tout le temps que je pouvais avec lui. Néanmoins, quoi que je puisse faire, il ne semblait pas vraiment s'intéresser à moi. Je me demandais même s'il éprouvait réellement quelque chose pour moi... Max était trop indécis, et Sabrina n'osait pas franchir franchement le pas, je tentai le tout pour le tout.

« Il fallait que je la prenne de vitesse tant qu'elle hésitait à se déclarer. Je me laissai pousser les cheveux et alla même jusqu'à la chirurgie esthétique pour lui plaire ! Je lui portai l'estocade finale en l'emmenant à l'hôtel où je lui offris ma virginité. Darling était à moi, rien qu'à moi, et Sabrina ne pouvait plus rien faire.

« Nous passions des jours heureux jusqu'à ce que Max meure renversé par une voiture. Sabrina, toujours amoureuse de lui, en apprenant la nouvelle, décida de se raser la tête, et devint prêtresse dans un monastère éloigné de toute civilisation. Quant à moi, je ne réalisais toujours pas que mon Darling n'était plus là... Un jour, en regardant les informations sur NHK World, je vis un homme ressemblant étrangement à mon Darling.

« Grâce au journal de mon père, je découvris qu'il s'agissait de Kasuga Kyosuke, un reporter photographe japonais. Il me fallait un prétexte pour le rencontrer, c'est alors que j'appris qu'il avait une fiancée nommée Ayukawa Madoka. En faisant quelques rapides recherches, je découvris que les Ayukawa étaient des musiciens mondialement connus. De plus, ils allaient partir pour une grande tournée mondiale. J'avais l'intuition que Kyosuke allait en faire partie.

« Ni une ni deux, je persuadai mon père de me laisser couvrir l'événement pour son journal. Les préparatifs étaient en place, j'avais même invité Kyosuke à dîner, mais contrairement à Max, mon charme n'a pas agi sur lui comme je l'aurais voulu...



Nous étions stupéfaits par son histoire qui ressemblait à s'y méprendre à la nôtre. La seule différence majeure, à part le fait que leur histoire s'est passée aux États-Unis, c'est que Max a choisi Pamela et non Sabrina. Je m'étais longtemps demandé si à cause de mes voyages temporels, je n'avais pas ouvert une faille où un monde parallèle serait rentré en contact avec le nôtre. La réponse était bien plus simple, il pouvait très bien exister quelque part des jeunes gens ayant vécu une relation amoureuse triangulaire similaire.

Pamela restait à terre en pleurant silencieusement. Elle sortit de son petit sac à main une vieille photo jaunie où elle figurait en compagnie de son Darling et de son amie Sabrina. On aurait vraiment dit que c'était une photo issue d'un de nos propres albums souvenir.

J'aidais Madoka à se relever, elle était grièvement blessée. Elle avait besoin de soins immédiats.

- Madoka, tu vas bien ? lui demandais-je inquiet par son état de santé.

- J'ai connu des jours meilleurs... Je suis triste pour cette femme, je la comprends tout à fait. Qui sait si je n'aurais pas fait pire à sa place, dit-elle en songeant au passé.

Alors que nous ne faisions plus attention à Pamela, elle sortit de son sac à main, un pistolet de poche, un Beretta M20, et le pointa dans ma direction.

- Puisque je ne peux pas t'avoir, alors personne ne t'aura ! dit-elle désespérée.

- Kyosuke attention !!! cria soudainement Madoka.

Pamela tira rapidement plusieurs coups de feu. Madoka rassembla ses dernières forces et bondit pour me plaquer à terre.

- Kyosuke, tu n'as rien ? me demanda Madoka d'une voix faible.

- Madoka, tu viens de me sauver la vie ! Mais... Tu es blessée !

Ma chemise blanche était devenue complètement rouge, c'était le sang de Madoka ! Elle avait pris les balles à ma place !

- Pourquoi as-tu fait cela ? lui demandais-je désemparé.

- Je t'étais redevable, tu m'as sauvé la vie à plusieurs reprises par le passé. Qui plus est, je ne pouvais pas laisser mourir l'homme que j'aime...

- Madoka, Madoka !!!

Elle ne répondit plus, sa respiration était faible. Je la portai dans mes bras, elle semblait légère comme une plume. Pamela n'ayant plus de balles, lâcha son arme à terre et s'enfuit en courant par l'unique porte de sortie.

- Madoka ne meurs pas !!!

Un mélange de tristesse et de colère m'envahis. Je fermis mes yeux chargés de larmes et laissait exploser mon Pouvoir.

- Madokaaa !!!

Je sentis mon Pouvoir affluer dans toutes les parties de mon corps, les éclairs virevoltaient violement tout autour de nous. Plus rien n'avait d'importance pour moi, je n'avais qu'une seule idée en tête : sauver Madoka. Après un tel déchaînement, je perdis connaissance et m'écroulai au sol.

Fin du chapitre

Comme d'habitude j'attends vos commentaires (bons ou mauvais mais justifiés).

J'attend de voir si mon audace a payé wink.gif

#102 tcv

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    KORiste

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Posté 18 juin 2012 - 20h51

Ouh là ! Madoka va-t-elle mourir ?
Chibi s'était engagé sur ce thème avec sa fanfic "Le choix du destin" ainsi que CyberFred avec sa fanfic-question dans la coupe Hikaru.

Tu es en train de jouer avec nos nerfs. dry.gif

#103 Punch

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Posté 18 juin 2012 - 21h44

Ah ! Je suis content, j'ai produit l'effet espéré biggrin.gif

Quand j'ai écris ce passage, je n'avais lu que le "Souvenir du Pouvoir" de CyberFred. Depuis je n'ai lu que les "Yeux de la Terre" et rien d'autre pour rester fidèle jusqu'au bout à mes idées. Après, la forme est perfectible, c'est pourquoi je lirai plus tard le travail des autres...

Sans vous dévoiler la suite, j'ai beaucoup hésité avant de malmener autant Madoka. De même, je n'ai pas voulu une fin trop dur pour Pamela. J'ai évité certains termes que je n'aime pas (même en fiction). Vous remarquerez que j'ai "tué" Max dans un accident de voiture. Il y a là une double référence à Shin Kor et à Touch...

J'ai dû trouver un compromis entre mon affection pour les personnages et l'intérêt de l'histoire pour les lecteurs. Pas évident tout cela !

La suite dans le prochain et dernier chapitre (de cette première partie) dès que j'aurais bossé dessus. Mis à part les corrections d'usage, il faut que j'écrive une conclusion intermédiaire...

#104 Punch

Punch

    inKoruptible

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Posté 25 juin 2012 - 16h36

Pfiou, que de complications ! Après bien des difficultés, voici le chapitre 13 , bonne lecture !

Chapitre 13

Lorsque je repris connaissance, j'étais allongé dans un lit d'hôpital. Tout mon corps me faisait mal. Mes idées étant embrouillées, je me contentais de regarder fixement le plafond blanc. J'eu soudain un flash, l'espace d'un instant je revis Madoka inanimée dans mes bras, ma chemise couverte de son sang.

- Madoka ! Où es-tu ? Madokaaa !!! hurlai-je mort d'inquiétude en me débattant dans le lit.

L'infirmière de service entra brusquement dans ma chambre. Elle m'avait entendu crier :

- Monsieur Kasuga, calmez-vous. Je...

Sans me soucier d'elle, je me levai du lit rapidement, puis me mis à courir dans les couloirs de l'hôpital.

- Madoka ! Madoka ! C'est moi Kyosuke ! Tu es-là ?

- Monsieur, vous n'êtes pas encore en état de quitter votre chambre, dit l'infirmière en essayant toujours de me calmer. Soyez raisonnable, vous êtes dans un hôpital ! Vous devez penser aux autres patients…

Je n'avais que Madoka en tête et n'écoutais pas un mot de ce qu'elle disait. Soudain, j'entendis une voix familière un peu faiblarde qui m'appelait :

- Kyosuke, Kyosuke ! Je suis là, je vais bien !

C'était la voix de Madoka ! Je me dirigeai dans sa direction et ouvris sans ménagement la porte. Elle était allongée dans un lit, ses cheveux étaient décoiffés, et son visage était recouvert de pansements. Elle avait une perfusion au bras gauche reliée à une poche de sang. C'était bien elle, elle était vivante !

- Madoka, Madoka !!!

Je bondis sur son lit et l'enlaça tendrement.

- Kyosuke ne me serre pas si fort, tu me fais mal ! Je ne vais pas m'envoler tu sais...

A cet instant, l'émotion était si forte que nous pleurâmes de joie. Incapables de prononcer une parole, nous restâmes un moment enlacés.

Quelques instants après, nous entendîmes frapper à la porte nous tirant ainsi de ce moment suspendu dans le temps. C'était les parents de Madoka qui venaient prendre de ses nouvelles.

- Madoka ma chérie, tu vas bien ? Nous nous sommes tellement inquiétés ! s’exclama Madame Ayukawa.

- Elle a visiblement l'air d’aller bien. On va toujours bien quand on est avec celui que l'on aime, dit Monsieur Ayukawa en nous regardant l'air attendri.

- Papa, Maman, je suis si contente de vous voir ! dit Madoka émue. Je ne me rappelle pas ce qui sais s'est passé après le combat contre Pamela. Je sais que j'ai reçu plusieurs coups de feu et plus rien après...

- Nous n'en savons pas plus que toi ma chérie. La police attend derrière la porte pour vous interroger tous les deux, répondit son père.

- Comment avons-nous été secourus ? leur demandai-je.

- Nous nous inquiétions de l'attitude agressive de Mademoiselle Taylor et ne vous voyant pas revenir nous avons alerté les autorités, expliqua le père de Madoka. Le problème était que nous ne savions pas où vous étiez passés... Fort heureusement, le vigile de l'Ark Mori Building situé tout près de la salle de concert a alerté la police à ce moment-là. Trois personnes correspondants à votre signalement étaient montées tout en haut de la tour mais ne pouvaient plus en redescendre suite à une panne d'électricité touchant tout le quartier. C'est ainsi que les secours furent envoyés par hélicoptère au sommet de la tour. Ils vous ont trouvés tous les deux inanimés et conduits immédiatement vers cet hôpital.

- Et Pamela, qu'est-elle devenue ? interrogea à son tour Madoka.

- Nous n'avons eu que des bribes d'informations car l'enquête suit toujours son cours, expliqua la mère de Madoka. Nous savons que la police n'a eu aucun mal à l'interpeller car elle s'est retrouvée bloqué dans l'ascenseur suite à la coupure de courant. Au cours de son interrogatoire, son état mental a été jugé instable si bien qu'il n'y aura pas de suites judiciaires à cette affaire. Monsieur Taylor a utilisé ses relations pour faire rapatrier en toute discrétion sa fille aux Etats-Unis afin de la placer dans un établissement spécialisé.

- Tout cela ne sont que des détails. Ce qui importe c'est que vous alliez bien tous les deux... Nous allons vous laisser maintenant, dit son père en me faisant un petit clin d'œil discret. Vous avez certainement envie de vous retrouver seul tous les deux.

Une fois que les parents de Madoka eurent quitté la pièce, je lui demandai immédiatement :

- Je te croyais mourante, les balles n'ont-elles fait que t'érafler ?

- Je me souviens très clairement avoir reçu plusieurs balles, et pourtant le docteur qui m'a examiné n'a rien trouvé, dit-elle affirmative.

- C'est un véritable miracle ! Ma chemise était pourtant recouverte de ton sang ! Comment est-ce possible ? m'étonnais-je.

- Tu t'es peut-être servi de tes pouvoirs ?

- Probablement, mais je ne connais aucun membre de la famille Kasuga qui soit capable de guérir les blessures en utilisant le Pouvoir...

- Vraiment ? me demanda-t-elle surprise.

Nous entendîmes alors frapper à la porte.

- Kyosuke !!! Madoka !!!

C'était toute ma famille qui était venue pour nous voir. Mon père Takashi, mes deux sœurs Manami et Kurumi (sans Jingoro contraint d'attendre dans la voiture) ainsi que mes grands-parents. Ils n'avaient pas assisté au concert, mais ils étaient au courant des événements qui venaient de se produire.

Intrigué par la tournure des événements, j'interrogeai mon grand-père :

- Grand-père, as-tu une explication sur ce qui s'est passé ?

- Kyosuke, est-ce que je t'ai déjà parlé du "sort interdit" ?

- Non, cela ne me dit rien.

Les autres membres de la famille détenteurs du Pouvoir secouèrent aussi la tête.

- C'est ce que l'on pourrait appeler une technique de transfert d'énergie. Kyosuke a utilisé son Pouvoir dans la volonté de sauver Madoka, expliqua grand-père.

- Une telle action est donc possible ? demandai-je dubitatif.

- Oui, à condition qu'un lien très fort unisse les deux personnes, répondit grand-père.

- Mais en quoi cette technique est-elle interdite ? poursuivais-je.

- Elle ne s'apprend pas car elle diminue l'espérance de vie de son utilisateur, précisa grand-père l'air grave.

- Grand-père, tu veux dire que Kyosuke va mourir pour avoir sauvé la vie de Madoka ? s'inquiéta Manami.

- Ha, ha, ha ! Rassurez-vous les enfants, Kyosuke ne va pas mourir ! Enfin pas tout de suite... Vous ne le savez peut-être pas, mais sauf cas exceptionnel, les membres du clan Kasuga ont une longévité supérieure à la normale grâce au Pouvoir. N'est-ce pas grand-mère ?

- Nous allons bientôt fêter tous les deux nos cent ans, et nous avons encore de belles années à vivre devant nous, répondit grand-mère impassible.

Toute la famille semblait stupéfaite.

- C'est vrai que j'ai toujours trouvé que vous aviez l'air très vieux ! dit Kurumi.

- Kurumi, ce n'est pas très poli ! Tu dois respecter nos grands-parents ! gronda Manami furieuse.

- Quoiqu'il en soit, Kyosuke, je ne sais pas quelle quantité d'énergie vitale tu as utilisé. Et même si je le savais, je serais incapable de te dire combien d'années de vie tu as perdues.

- Cela n'a aucune importance, grand-père. L'essentiel est que Madoka soit vivante, dis-je déterminé.

- Quand Pamela a tiré sur Kyosuke, j'ai eu comme une intuition. J'ai senti que je devais le protéger, car si j'étais blessée à sa place il pourrait m'aider. S'il avait été tué, je n'aurais rien pu faire pour lui... dit Madoka au bord des larmes.

- C'était un pari très risqué Madoka ! intervint Manami inquiète. Jusqu'à présent aucun de nous ne sait soigner des blessures grâce aux Pouvoir !

- J'ai une confiance inébranlable en Kyosuke ! dit Madoka sûre d'elle. J'étais certaine qu'il trouverait un moyen de me sauver. Il l'a fait tant de fois par le passé.

- Madoka, ta confiance m'honore et me touche énormément ! répondis-je surpris par l'intensité de ses sentiments.

- Il ya tout de même une chose qui m'intrigue, demanda Manami perplexe. Comment cela se fait-il que seules les blessures dues aux balles aient été soignées ?

- Kyosuke a utilisé inconsciemment le sort interdit et a focalisé son Pouvoir sur les blessures les plus importantes, répondit grand-père. Je ne vois pas d'autre explication possible...

Le docteur entra à son tour :

- Bonjour Mademoiselle Ayukawa, j'ai les derniers résultats de vos examens. Ah ! Vous êtes là aussi Monsieur Kasuga ? Je m'occuperai de vous après.

- Oui docteur. Alors comment se porte-t-elle ? demandais-je.

- Mademoiselle Ayukawa a eu beaucoup de chance, ou alors elle a un ange gardien qui veille sur elle ! Les ecchymoses et contusions mineures ne sont que la partie visible de l'iceberg. Vous avez plusieurs côtes cassées et avez perdu une grande quantité de sang. Ce que nous n'arrivons toujours pas à expliquer malgré des examens approfondis. C'est un peu comme si les balles étaient entrées et ressorties sans laisser de traces...

- Combien de temps vais-je devoir rester à l'hôpital, docteur ? demanda Madoka préoccupée par son état.

- Je ne saurai dire avec précision, cela dépendra de vos capacités de récupération. Ce qui n'est pas plus mal, car vous avez encore besoin de beaucoup de repos, dit-il à Madoka. C'est aussi valable pour vous Monsieur Kasuga.

- Vraiment ? répondis-je. Je me sens en pleine forme pourtant.

- Vous avez visiblement vécu un choc émotionnel important, ce qui a eu des répercussions sur tout votre organisme. Je vous recommande le repos complet pour une semaine. Je m'étonne d'ailleurs comment vous arrivez à tenir debout actuellement ! s'étonna le docteur médusé.

- Je me le demande aussi, lui qui s'enrhume pour un rien ! rétorqua Kurumi moqueuse.

Tout le monde se mit alors à rire de bon cœur avant de prendre congés.

Fin du chapitre

Comme vous pouvez le constater, si vous m'avez lu jusqu'à maintenant, il n'y a pas de conclusion. En fait, il y avait trop de matière pour ce chapitre et par souci de cohérence j'ai décidé de le couper en deux afin d'expliciter "certains détails". Vous aurez donc droit à partir de la semaine prochaine à un chapitre 14 (en cours d'écriture) consacré à l'interrogatoire de la police et peut-être même à une conclusion (à trouver).

A suivre...

#105 tcv

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Posté 26 juin 2012 - 18h56

Madoka sauvée ! Quel soulagement.
Je pensais que tu aurais eu recours à un saut temporel pour la sauver, mais cette idée de "sort interdit" n'est pas sans rappeler certains jeux de rôles.

Attendons de voir la suite (et la fin ?)

#106 Punch

Punch

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Posté 26 juin 2012 - 19h32

Oui, je n'allais pas tuer Madoka quand même laugh.gif

C'est marrant que tu parles de jeux de rôles car j'en suis un grand amateur surtout les RPG japonais sur consoles (Dragon Quest, Final Fantasy, Zelda...)

D'ailleurs, je n'avais pas fait le rapprochement avec mon idée du "sort interdit" (pas tout à fait satisfait du nom mais bon). J'espère que cela ne fait trop "cliché" ni trop "déjà vu".

En tout cas, je pense que cela rejoint mon idée d'appeler ma FF "The Power of Love".

Le prochain (et dernier ?) chapitre sera plus "policier" où je devrais expliciter de manière réaliste les derniers événements. C'est pas gagné car j'ai fait fort tongue.gif

Si vous avez un bon nom de lieutenant de police (ex-inspecteur) je suis preneur smile.gif

#107 tcv

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Posté 26 juin 2012 - 20h19

Il faudrait que je demande à ma femme laugh.gif

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#108 Punch

Punch

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Posté 26 juin 2012 - 21h07

Pas mal laugh.gif

L'hommage pourrait être amusant mais pas forcément dans le ton de ma FF.

Des tas d'inspecteurs connus me viennent en tête mais je préférerai un japonais...

#109 tcv

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Posté 26 juin 2012 - 22h00

Comme tu es à Tokyo, je te propose alors le lieutenant Saeko Nogami (City Hunter). wink.gif



#110 Punch

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Posté 27 juin 2012 - 09h21

Trés intéressante ton idée Tcv !

Je n'avais pas pensé à une femme, j'aime bien le personnage de Saeko alors peut-être...

#111 Jingo

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Posté 05 juillet 2012 - 10h36

QUOTE (tcv @ 26 Jun 2012 22:00)
Comme tu es à Tokyo, je te propose alors le lieutenant Saeko Nogami (City Hunter). wink.gif

Excellente suggestion smile.gif

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#112 Punch

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Posté 05 juillet 2012 - 18h01

"Vox populi vox dei"

Un petit cross-over entre Kor et City Hunter, c'est motivant comme idée moi qui était en panne d'inspiration smile.gif

Je vous mitonne ce petit chapitre et vous le posterai dès qu'il sera prêt wink.gif

#113 Punch

Punch

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Posté 12 juillet 2012 - 22h17

Après bien des tourments, voici enfin le chapitre 14 !!!

Chapitre 14

Une fois ma famille et le docteur parti, ce fut au tour du policier de faire son entrée. A ma grande surprise, c'était une femme et d'une grande beauté ! Cette japonaise, d'une trentaine d'années environ, avait une longue chevelure noire s'arrêtant aux épaules avec une fine mèche lui traversant le visage. Elle portait une veste blanche avec un décolleté plongeant ainsi qu'une longue jupe noire fendue sur la cuisse gauche. A peine entrée elle prit aussitôt la parole :

- Bonjour Mademoiselle Ayukawa. Bonjour Monsieur Kasuga. Je suis le lieutenant de police Nogami Saeko du commissariat de Tokyo. Je me doute que vous devez être fatigués après de telles épreuves, mais j'aimerais vous posez quelques questions à tous les deux au sujet de l'affaire Taylor.

- Je n'y vois pas d'objections Lieutenant, lui répondis-je. Mais ma fiancée doit se reposer alors je vous prierai d'être bref.

- Ce ne sera pas long, dit-elle, je vous le promet.

Elle prit alors une chaise pour s'asseoir en face du lit de Madoka alors que moi j'étais assis à sa droite en lui tenant toujours la main. L'interrogatoire s'annonçait difficile, comment expliquer ce qui s'est passé sans mentionner mon Pouvoir ? De plus, malgré la présence de Madoka, je pouvais difficilement m'empêcher de regarder son décolleté ou ses jambes !
Alors qu'elle croisait et décroisait ses jambes, je fus intrigué par un reflet, j'utilisai mon Pouvoir de transparence pour découvrir sur sa jarretière une rangée de petits couteaux à lancer semblables à des scalpels ! Cela me rappelai immédiatement l'époque où Madoka faisait de même avec ses médiators... On peut dire que l'expression "femme fatale" trouve ici sa parfaite illustration !

- Nous vous écoutons Lieutenant, dit Madoka nullement impressionnée en la regardant droit dans les yeux.

- Je tiens tout d'abord à vous rassurer, il n'y aucune charge qui pèse contre vous, affirma le lieutenant d'un ton amical. Vous êtes les victimes dans cette histoire et c'est à titre de témoins oculaires que je vous sollicite aujourd'hui. Ma présence informelle n'a pour autre but que de tenter d'éclaircir les zones d'ombre parsemant cette affaire peu banale.

- Vous m'en voyez ravi, je n'ai pas l'habitude de ce type de discussion, fis-je en poussant un soupir de soulagement.

- Très bien commençons. Depuis quand connaissez-vous Mademoiselle Taylor et quels sont vos liens avec elle ? demanda la policière.

- Je l'ai rencontrée le lendemain du premier concert de la tournée mondiale des Ayukawa, répondis-je en premier. Nous suivions tous les deux cette tournée pour nos journaux respectifs et nous logions toujours dans le même hôtel par commodité. Je ne vois en elle qu'une simple confrère même s'ils nous est arrivés de dîner ensemble un soir.

- Pour ma part, la seule fois que je l'ai vue c'était le soir du concert au Suntory Hall, répondit à son tour Madoka. Je ne pense pas avoir de lien particulier avec elle si ce n'est la rivalité en amour.

- Je vois, cela corrobore la version de Mademoiselle Taylor, réfléchit à haute voix le lieutenant. J'ai cependant une étrange impression, comme si en fait vous vous connaissiez depuis bien plus longtemps que cela.

- Eh bien, selon l'histoire que nous as raconté Mademoiselle Taylor, expliquai-je, il semblerait qu'elle ai eu une adolescence assez similaire à la nôtre. Et même, des amis nous ressemblant physiquement d'après la photo qu'elle nous a montré.

- D'ailleurs, poursuivit Madoka, Mademoiselle Taylor pourrait être la jumelle d'une très bonne amie à nous, Hiyama Hikaru.

- Oui, oui, je sais tout cela, mais vous m'avouerez quand même que la situation est troublante... s'exclama-t-elle pensive. Passons au soir de l'incident. D'après ce que nous ont affirmés Monsieur et Madame Ayukawa, juste après la fin du concert, vers 23h00, Mademoiselle Taylor est venue vous trouver et vous a demandé de la suivre pour "s'expliquer" avec vous. Est-ce exact Mademoiselle Ayukawa ?

- Oui, cela s'est passé comme cela, confirma Madoka. Par contre, pour l'heure je ne saurais dire avec exactitude car je n'avais pas de montre.

- Cela ne fait rien, continuons, dit le lieutenant Nogami. Ce que je ne m'explique pas, c'est comment vous avez pu ainsi suivre une inconnue à une heure aussi tardive ?

- Voyez-vous, Kyosuke me donnait régulièrement de ses nouvelles par le biais de ma messagerie sur Internet, mentit adroitement Madoka. C'est comme cela que j'ai eu connaissance de ses "difficultés" avec sa consœur, Mademoiselle Taylor. Lorsque je l'ai enfin rencontrée, je pensais tirer toute cette affaire au clair en discutant directement avec elle. Je ne pensais pas que les événements prendraient cette tournure...

- Avançons jusqu'au moment où Mademoiselle Taylor a ouvert le feu, si vous voulez bien, poursuivit la policière. Monsieur Kasuga, pouvez-vous me décrire avec le plus de précision possible la scène ?

- Alors que nous pensions qu'elle était hors d'état de nuire après une lutte acharnée à mains nues, Mademoiselle Taylor nous a surpris en sortant une arme à feu de son sac à main. Elle a dit une phrase comme " puisque je ne peux t'avoir, personne ne t'aura ! " et elle a tiré dans ma direction.

- C'est bien cette arme-ci ? fit-elle en nous montrant une photo de la pièce à conviction enfermée dans un sac en plastique transparent.

- Oui, confirmai-je. C'était une arme de petite taille similaire à celle-ci.

- Il s'agit d'un Beretta M20, un pistolet automatique de calibre 6,35 mm, expliqua le lieutenant Nogami. C'est un modèle très répandu chez les femmes car sa petite taille lui permet de se dissimuler facilement en toute occasion. Son chargeur a une capacité de huit cartouches. Sur les lieux de l'incident nous avons retrouvé cinq douilles. L'examen de l'arme a révélé qu'elle s'était enrayée empêchant ainsi le tireur de vider complètement son chargeur. D'après le rapport du docteur qui vous examiné, vous n'avez ni l'un ni l'autre de traces de blessure par balle. Nous avons passé au peigne fin le toit, mais nous n'avons pas retrouvé les balles qui ont été tirées. Avez-vous une explication à me donner à ce sujet ?

- L'affrontement à mains nues avec Mademoiselle Taylor a été très violent si bien que tout mon corps me faisait atrocement souffrir, raconta Madoka en cherchant ses mots. Lorsque, folle de rage, elle a tiré sur Kyosuke, je n'ai pas pensé un instant à ma sécurité et j'ai instinctivement plongé pour le protéger. Peut-être que les balles n'ont fait que me frôler, je ne saurai dire...

- D'après les éléments actuels de l'enquête, nous pouvons affirmer que Mademoiselle Taylor s'exerçait régulièrement au tir, révéla la policière. Elle avait dans son sac à main un permis de port d'arme ainsi qu'une carte de membre d'un club de tir exclusivement féminin. En tenant compte de ses aptitudes, de la distance, et de la configuration des lieux, il y avait peu de probabilité à ce qu'elle manque sa cible !

- Nous avons eu beaucoup de chance ce soir-là, dis-je alors gêné en me passant la main derrière la tête. Ne dit-on pas que "l'amour est plus fort que la mort" ?

- L'essentiel est que vous soyez tous les deux vivants et que vous ne gardiez pas de séquelles de vos blessures. Monsieur Taylor n'aurait pu si facilement étouffer l'affaire si cela n'avait pas été le cas ! s'exclama le lieutenant Nogami.

En évoquant le nom de Monsieur Taylor, le lieutenant sortit pour la première fois de sa réserve. Elle pouvait difficilement dissimuler son amertume et se mordit légèrement la lèvre inférieure. Dans son difficile travail, elle devait sans doute souvent se heurter aux "puissants" qui se servaient de leur argent ou de leur notoriété pour se placer au-dessus des lois. Ce qui bien souvent réduisait à néant les efforts de la police.

Après s'être calmée, elle reprit son interrogatoire :

- En parallèle à l'affaire Taylor, qui restera malheureusement sans suite, il y a une autre raison à ma présence. La compagnie d'assurance de TEPCO, la société qui gère le réseau électrique de Tokyo, recherche ce qui a provoqué la panne privant d'électricité tout le quartier.
Les techniciens évoquent une surcharge inexpliquée ayant fait sauter tous les transformateurs en même temps. Auriez-vous des éléments à m'apporter à ce sujet ?

- Il y a peut-être eu un orage et la foudre serait tombée sur un poteau électrique... imaginai-je sans trop de conviction. Le réseau électrique japonais étant essentiellement aérien de tels incidents doivent être fréquents.

- J'ai aussi envisagé cette hypothèse, fit la policière. J'ai demandé aux services météorologiques l'état du ciel ce soir-là et il était parfaitement dégagé. Il n'y a pas eu le moindre impact de foudre dans toute la région.

- Nous sommes navrés de ne pouvoir vous aider davantage Lieutenant, s'excusa platement Madoka.

- Je vous en prie ne vous excusez pas, nous dit-elle. Mademoiselle Ayukawa, Monsieur Kasuga, je vous remercie pour votre coopération. Les informations que vous m'avez fournie me seront très utiles pour terminer cette enquête. Je vous laisse ma carte avec mon numéro au cas où quelque détail vous reviendrai. N'hésitez pas à me contacter ou à me laisser un message.

Le lieutenant Nogami, se leva, nous salua et s'apprêtât à quitter la chambre de Madoka.
En partant, elle passa la tête par la porte et nous dit avec un large sourire :

- A titre personnel, je vous envie. Je trouve que vous formez un très beau couple. J'espère que vous resterez le plus longtemps possible ensemble.

A peine la porte refermée, je m'adressai à Madoka :

- Ouf, cet interrogatoire ne s'est pas trop mal passé finalement. Le Lieutenant Nogami est vraiment une femme surprenante !

- Oui, j'ai vu la façon dont tu avais de la regarder avec insistance ! cria t-elle. Quel culot alors que j'étais là blessée juste à côté de toi !

- Mais voyons Madoka, ne sois pas jalouse ! balbutiai-je paniqué. Tu es mille fois plus belle qu'elle, je te l'assure !

- Vraiment ? Tu as de la chance que je sois convalescente. Attends un peu que je sois rétablie et tu vas voir de quel bois je me chauffe ! dit-elle en me donnant de légers coups de poing sur la tête. Ha, ha , ha !

- Ha, ha, ha ! Tu m'as bien eu mon Ange ! lui dis-je en l'embrassant tendrement.

Fin du chapitre

Pfiou, j'ai cru ne jamais arriver au bout de ce chapitre, je suis lessivé...

Pas spécialiste pour un sou des histoires policières (à part le début de Détective Conan) j'ai eu beaucoup de mal. Si certains détails m'ont échappé, merci de m'en faire part.

Je ne vais pas faire de mini-conclusion finalement et m'arrêter là pour le moment.

I'll be back (someday) !!! robot.gif

#114 tcv

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Posté 13 juillet 2012 - 05h39

Bien ! Je pense que ta fanfic mériterait de figurer sur la page des fanfics du site de CyberFred.

#115 Punch

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Posté 08 septembre 2012 - 10h46

QUOTE (CyberFred @ 08 Sep 2012 01:13)
Heu... Ok, il faut que je publie encore le fan art et aussi la fan fiction en question... Punch, il faut m'aider smile.gif

Cela fait un moment en effet, qu'on n'en a pas parlé. Je pensais que tu n'étais pas assez satisfait par ma FF pour la publier en l'état.

Si tu as suivi mes messages précédents, j'ai pas mal retravaillé la première partie en suivant une partie de tes conseils et de tes corrections. Après, il y a sans doute des modifications à faire pour la publication.

On peut toujours en discuter à ta guise ici, par MP, ou par e-mail en fonction de nos disponibilités respectives.

#116 CyberFred

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Posté 08 septembre 2012 - 13h43

Bojour Punch,

Je publierai ta FF si tu me donnes une version PDF des chapitres rassemblés en un seul fichier, sauf si tu en décidais autrement smile.gif
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#117 Punch

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Posté 08 septembre 2012 - 18h14

Bon, je vais essayer de bricoler cela dès que ce sera possible (je n'ai jamais crée de PDF mais cela devrait être gérable).

Il faut que je m'arrange pour faire une petite introduction et une conclusion, pour faire plus propre, tout en spécifiant qu'il ne s'agit que de la première partie (en version 1.5 qui plus est !).

Dès que c'est prêt, je te l'envoie par mail CyberFred wink.gif

P.S : Pour ceux qui seraient intéressés par la deuxième partie, la correction n'est pas encore à l'ordre du jour. Je pense que je dois encore améliorer la première partie pour l'upgrader en 2.0. Il va donc falloir vous armer de patience...


#118 CyberFred

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Posté 08 septembre 2012 - 22h00

C'est pas à la minute, Punch. Prends ton temps, même si cela prend encore quelques jours, voire semaines. Je ne veux pas te presser. Mon site ne va pas s'enfuir smile.gif
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#119 tcv

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Posté 09 septembre 2012 - 20h11

QUOTE (Punch @ 08 Sep 2012 19:14)
Bon, je vais essayer de bricoler cela dès que ce sera possible (je n'ai jamais crée de PDF mais cela devrait être gérable).

Pour ma part, je sauvegarde mes textes sous Word 2000. Ensuite j'utilise PDF Creator pour les convertir en pdf. Les dernières versions de Word (après Word 2007) possèdent la fonction d'enregistrement au format pdf.
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#120 CyberFred

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Posté 10 septembre 2012 - 00h23

Oui, utilise PDF Creator et tout se passera bien smile.gif
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