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Les arts Jedi, postures et formes de combat au sabre laser


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#1 Jingo

Jingo

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Posté 11 juin 2018 - 16h20

Pour ceux que cela intéresse où aimeraient tester leur sabre laser dans le jardin, voici un petit topo très intéressant sur les arts Jedi, les formes et postures de combat au sabre laser à lire ici ou ci-dessous avec des compléments et quelques vidéos illustratives :
 
Niman.jpg


Historique

Les Arts Jedi furent créés et codifiés sur Ossus, planète de naissance de l'Ordre Jedi proprement dit.
Auparavant, la communauté d'érudits qui étudiait la Force sur Tython était strictement pacifiste. Parmi leurs expérimentations sur la Force, ils pratiquaient une sorte de gymnastique pour ressentir ce courant d'énergie omniprésent sur la planète, un peu sur le même principe que le Tai Chi Chuan. Avec le temps, deux formes de cette technique se codifièrent: l'Ashla, centrée sur un ressenti passif et harmonieux de la Force; et le Bogan, qui était dans une démarche plus active pour canaliser et libérer cette énergie sous un aspect spectaculaire: les pouvoirs de la Force.
 
Malheureusement, les pratiquants du Bogan, à force d'abuser des pouvoirs conférés par leur art de méditation, finirent corrompus par le Côté Obscur de la Force; ce qui déclencha la confrontation avec les pratiquants de l'Ashla, alignés sur ce qu'on peut qualifier rétrospectivement de Côté Lumineux; conduisant aux fameuses guerres de la Forces, en 25 800 av.BY. Dans un premier temps, les adeptes de l'Ashla furent désemparés par les pouvoirs destructeurs utilisés par ceux du Bogan, sous forme de vagues télékinétiques ou de décharges électriques véritablement ravageuses.
Après avoir tenté sans succès de les affronter sur ce terrain, au bord de la défaite, ils changèrent de tactiques en allant les chercher au corps à corps, combattant à main nue ou avec toute sorte d'armes blanches à portée de main. Ils se rendirent compte que l'application de l'Ashla au combat décuplait leurs capacités physiques et sensorielles, ce qui leur donnait un net avantage sur les pratiquants du Bogan qui avaient besoin de temps pour se concentrer, et ne pouvait pas utiliser pleinement leurs pouvoirs de près sans risquer de se blesser. Le rapport de force s'équilibra, et au bout de dix ans, les adeptes du Bogan, par dépit, détruisirent la surface de la planète en combinant leurs pouvoirs dans une puissante explosion de Force. Leurs adversaires de l'Ashla ne durent leur survie qu'à leur technique de renforcement corporel par la Force. Ils fondèrent l'Ordre Jedi, supprimèrent cette distinction entre techniques de méditation pour se focaliser exclusivement sur l’utilisation du Côté Lumineux; et mirent leurs capacités guerrières nouvellement acquises au service de la République, afin de défendre la Paix et la Justice dans la Galaxie. Leur méthode de combat étant fondée sur l'usage de l'escrime assisté de la Force, progressivement codifié sous ce qu'on appellera Arts Jedi.
Il serait réducteur d'associer l'opposition Ashla/Bogan à celle de Côtés Lumineux et Obscurs; puisque d'un côté, les érudits Jedi se focalisent sur l'usage des Pouvoirs de la Force dans un sens bienveillant, tandis que les assassins Sith sont des escrimeurs hors pairs. Mais il est vrai qu'il a inspiré au sein de l'Ordre une longue tradition de défiance envers l'utilisation pure de Pouvoirs de la Force, contrairement aux Jedi Noirs et aux Sith qui l'encouragent.
 
Aux premiers temps de la République, les escrimeurs Jedi s'imposèrent en tant que combattant de première ligne dans le chaos des conflits armés, parant les tirs ennemis avec de simples vibrolames, puis les retournant à l'envoyeur avec l'apparition des sabres laser, aux côtés des érudits plus lents qui se limitaient à un rôle de soutien. L'escrime Jedi devint la forme exclusive de combat au sein de l'Ordre après la grande refondation des institutions en 1000 av.BY suite à la catastrophique bataille de Ruusan, dans une ultime tentative de conjurer à jamais l'attrait du Côté Obscur.
 
Nomenclature : Formes et styles

L'enseignement du maniement du sabre, arme de prédilection des Chevaliers Jedi pendant 10 000 ans, est synthétisé en une douzaine de Formes d'Arts Jedi ; le nom de "Forme" désigne à la fois les techniques codifiées sur lesquelles repose le maniement du sabre laser, et l'ensemble des mouvements, passes, enchaînements, parades et bottes propres à chaque style de combat. Il existe de nombreux Holocrons dont le contenu porte sur les Formes de maniement du sabre ; ils renferment des informations historiques ou techniques et des notes personnelles de grands maîtres d'armes du passé, sous la forme de mémoires, d'apprentissages initiatiques voire même de véritables traités.
 
Il existe cinq Formes dites Primordiales, qui constituent les bases du maniement du sabre-laser et représentent une majeure partie des techniques y afférentes. Outre ces cinq Primordiales, il existe cinq autres Formes dites secondaires, plus spécifiques ou plus complexes, deux Formes tertiaires qui concernent le maniement de deux sabres laser ou du double sabre laser, et deux Formes quaternaires qui sont des Formes combinées avec des pouvoirs préhensifs ou physiques, limitant l'utilisation du sabre laser.
Cependant, il faut noter que ce cloisonnement ancien, bien qu'utile pour l'apprentissage, n'est pas toujours justifié en terme de pratique, et les combinaisons aboutissent à la création de styles mixtes ou hybrides.

L'apprentissage d'une Forme nécessite de nombreuses années d'entraînement, et n'est jamais véritablement complet. D'autre part, une seule Forme ne peut suffire à une pratique polyvalente du sabre : le style d'un Jedi se crée en général à partir de plusieurs Formes, dont il apprend, combine et adapte les techniques pour créer un style : chaque Jedi manie le sabre laser suivant ses propres choix, personnels et uniques. De fait, même si chaque Forme en soi représente un style à part entière, aucune n'est assez complète pour s'adapter à toutes les situations. Après avoir appris les bases des Formes considérées comme nécessaires par ses maîtres (variables selon les époques et les enseignements), chaque Jedi choisit quelques Formes de combat qu'il approfondit pour créer ses propres styles de combat, selon ses goûts, ses capacités et ses besoins. Certaines sont orientées vers l'attaque, d'autres vers la défense, certaines sont spécifiques aux duels, d'autres encore sont plus adaptées à l'usage des non-anthropoïdes ou à certains environnements.
Il faut noter que l'utilisation d'attaques physiques (coups avec le corps ou les membres) et d'arts martiaux est souvent combinée aux Formes de maniement du sabre, mais ne fait pas l'objet d'une Forme à part ; ces techniques sont intégrées dans les codes qui régissent les différentes Formes, ou utilisées spécifiquement par les combattants : par exemple dans le cas du Teräs Käsi Mandalorien, l'un des principaux codes d'art martiaux connus.
 
Escrime

Principes d'escrime de base
Sans faire l'affront de la définition d'attaque ou de parade, il convient de rappeler que...

  • L'estoc est une attaque transperçante effectuée par la pointe de la lame.
  • La taille est une attaque de tranche effectuée avec une partie de la lame.
  • La garde définit non pas la poignée du sabre mais la tenue du sabre lorsqu'il est immobile (ni en attaque, ni en défense).

Quelques attaques et parades en vidéo
 
Techniques spécifiques
Les Arts Jedi furent codifiés sur Ossus, et la langue primitive des Jedi, l'ossiun, servit à nommer les Formes et les différentes techniques. Voici un petit vocabulaire.

  • lahen = déclarer la victoire / demander la reddition de l'adversaire (autrefois lors de duels, maintenant pendant les entraînements)
  • solah = déclarer forfait / demander la fin du combat par reddition
  • kan = combat, affrontement (duel au sens large)
  • shii = escrime
  • kai = deux (noter le nom des Formes X et XI, ainsi que les duels Kai-kan)
  • kei = plusieurs (indique le fait de porter plusieurs coups en un seul enchaînement)
  • cho (préfixe) / cha (suffixe) = attaque de tranche par la lame, coupant profondément ou entièrement l'objet cible
  • shiim = attaque de tranche par la pointe, superficielle (entaille)
  • shiak = attaque d'estoc
  • djem = attaque de neutralisation / désarmement
  • maï = la main armée
  • sun = le bras armé
  • mok ou mak = un membre non armé (bras, jambe, autre)
  • tok = le tronc
  • saï (avec un i fort) = la tête
  • jung = rotation horizontale corps-sabre
  • ton = rotation sagittale (verticale d'avant en arrière) corps-sabre (par saut ou roulade)
  • en = rotation frontale (verticale de droite à gauche ou vice-versa) corps-sabre (roue)
  • ma (suffixe) / mou (préfixe) = enchaînement
  • shun = rotation bras-sabre
  • su = saut d'attaque
  • sai (avec un i faible) = saut d'évasion
  • djem = désarmement
  • cho djem = destruction du sabre

On peut donc construire les noms d'attaques ou d'enchaînements tels que :

  • Le Cho Maï = coupe profonde ou section de la main armée
  • Le Cho Sun = coupe profonde ou section du bras armé
  • Le Shiim Mok = entaille d'un membre non armé
  • Le Shiak Tok = estoc perçant le thorax ou l'abdomen
  • Un Mou Kei = enchaînement fluide touchant plusieurs fois, terme générique
  • Jung Ma = terme neutre : enchaînement de rotations horizontales
  • Ton Ma = terme neutre : enchaînement de rotations sagittales (sauts ou roulades)
  • En Ma = terme neutre : enchaînement de rotations frontales (sauts ou roues)
  • Jung Su Ma = enchaînement offensif, en combat, de rotations horizontales
  • Ton Su Ma = enchaînement offensif, en combat, de rotations sagittales (sauts ou roulades)
  • En Su Ma = enchaînement offensif, en combat, de rotations frontales (sauts ou roues)

Postures de garde

Différentes postures attaque / défense
Les postures de garde sont des postures où le sabre est dégainé, et le bretteur prêt à combattre. Chez les Jedi, il s'agit de techniques à part entière qui impliquent une attitude face à l'adversaire et une préparation à la Forme de combat utilisée.

Postures neutres défensives
Ces postures sont celles "par défaut" pour le Jedi, par essence et par définition. La posture neutre défensive implique : corps fixe ou mouvement lent, sabre dégainé tenu près du corps et placé transversalement par rapport à la source de danger ; la lame doit se trouver dans la demi-sphère défensive face à l'adversaire. Il s'agit d'une posture d'attente, explicitement non agressive, qui favorise la défense individuelle et la communication (attitude non fermée face à l'adversaire, qui ne doit pas se sentir en danger).

Postures neutres offensives
Ces postures sont très utilisées en combat car elles s'associent mieux aux techniques d'attaque que les neutres défensives. La posture neutre offensive implique : corps en tension, prêt à des enchaînements ou mobile selon la situation, sabre dans une attitude offensive : lame pointée vers l'adversaire ou éloignée du corps pour une attaque large, ou dans une position préparant un enchaînement. Il s'agit d'une posture active, qui favorise l'attaque, le mouvement et/ou l'intimidation.

Postures de duel
Ces postures sont utilisées dans toutes les situations, tenant essentiellement au caractère du bretteur. Une posture de duel implique une attitude difficile à interpréter : contrairement aux postures neutres, les postures de duel permettent rarement de prévoir les actions du bretteur ; ces postures sont en fait déterminées par une impression esthétique susceptible d'influencer l'adversaire, de le déstabiliser. Il s'agit d'une posture à visée "psychologique", qui favorise le mouvement, l'élégance, l'imprévisibilité ou la surprise, une attaque d'entrée, etc...
 

Formes

Formes Primordiales
Les cinq Formes Primordiales constituent les fondements du maniement du sabre laser, au sens qu'elles sont les plus anciennes et les plus polyvalentes dans leur domaine propre, chacune possédant sa propre philosophie et ses spécificités.

Forme I, Shii Cho
 
Enseignée à tous les novices dès la première année, elle permet l’apprentissage des bases comme le maintien de l’arme, posture de garde, déplacements, gestion de distance, donnant également au pratiquant le temps de découvrir son arme, ses forces et ses faiblesses.
Forme assez brute mais efficace, elle n’est pas réputée pour sa finesse car développée pour l’utilisation du sabre comme arme lourde : larges coupes, gros dégâts mais peu précise dans des mains inexpérimentées. Sa maitrise permet de la rendre plus fluide tout en apportant une dose d’imprévisibilité.
Un exemple particulièrement probant :Kit Fisto combat l'empereur avec Maître Windu
 

>> Une autre vidéo ici
 
Forme II, Makashi

  • Dite Forme d'Opposition

Le Makashi est la deuxième des Formes primordiales, mais elle est généralement l'une des dernières enseignées, et est même devenue facultative avec la raréfaction des individus pratiquant les Arts Jedi (notamment les Jedi noirs et les Sith). Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques des Formes I et V ; il dure environ un an pour les bases, et jusqu'à dix ou onze années d'entraînement pour un style abouti ; en sachant qu'un maître du Makashi, pour être réellement au sommet de son art, ne peut que connaître à fond chacune des onze autres Formes (dans l'optique d'en contrer les attaques et d'en passer outre les défenses...).

L'utilisation du Makashi lors d'un duel.

  • Postures : de duel exclusivement.

Ce style fut créé lors des anciennes Guerres de la Force, les premiers affrontements majeurs entre Jedi et Sith, et conçu par les Jedi dans l'idée de contrer la fureur destructrice des Sith. La philosophie de la Forme II est celle d'un style de duel ancien : vaincre l'adversaire par l'habileté et non par la violence, faire preuve de noblesse, de subtilité et d'élégance.
Style de combat au sabre laser conçu pour les duels. L'essentiel de la Forme II tient dans des mouvements de la main, du poignet et du bras : fluidité, dextérité et précision du geste. Le corps ne se déplace que lentement, mais les rotations sont nombreuses, et le bras, très mobile, est le support du sabre qui effectue des mouvements très fluides et des attaques tournoyantes entrecoupées de parades précises et de bottes délicates. Le Makashi repose sur des enchaînements compliqués qui peuvent être combinés et répétés autant de fois que nécessaire et dont l'objectif est de contrer l'adversaire avec brio jusqu'à passer ses défenses sans user de la force physique ou de la ruse. Aussi redoutable que raffiné, ce style emploie certaines des bottes les plus délicates des Arts Jedi.
 
Le Makashi a été développé suite à l’émergence du Shii Cho comme la forme de combat sabre contre sabre. En effet il y avait peu voir pas d’armes pouvant s’opposer à un sabre laser, mis à part un autre sabre laser. C’est dans cette optique que le Makashi vit le jour. Mélange gracieux et fluide de défenses, d’estocs et de contre-attaques, cette forme se caractérise également par une mobilité accrue afin de trouver une ouverture chez l’adversaire et de s’y engager. Elle manque toutefois de puissance ce qui peut la limiter vis-à-vis d’autres formes plus brutales.

Un exemple particulièrement probant : le Comte Dooku, à chacun de ses duels.
 

>> Une autre vidéo ici

Forme III, Soresu
 
Dite Forme de Protection

Le Soresu est la troisième des Formes primordiales, mais elle est généralement, chez les Jedi, la deuxième enseignée après la Forme I. Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques de la Forme I ; il dure environ un an pour les bases, et, bien que ses utilisateurs s'arrêtent en général à six ans, nécessite jusqu'à dix à douze années d'entraînement pour un style abouti.

  • Postures : neutres défensives exclusivement.

Ce style a une origine antérieure à l'Ancienne République, et même avant l'époque des Guerres de la Force : il date de l'époque de démocratisation des armes de tir laser et résulte du besoin des Jedi de se protéger de ces armes à distance. La nomenclature de la Forme III fut cependant établie seulement aux débuts de l'Ancienne République, en même temps que la Forme V. La philosophie du Soresu : la non-agression exclusive, peut paraître restrictive, mais elle est essentielle dans l'éthique Jedi et est considérée comme fondamentale car représentative du respect de la vie et de la lutte par la résistance pacifique.
Style défensif par excellence, conçu presque exclusivement pour combattre des ennemis équipés d'armes à feu, idéal pour le renvoi des tirs de blaster. Le Soresu, assez fixe, à la lame proche du corps mais très mobile, est peu adapté à la contre-attaque car il nécessite une garde et une concentration constantes et est, par essence, une Forme défensive. Ce style aux coups secs et précis et aux enchaînements tournoyants peut cependant être travaillé pour faciliter une plus grande liberté de mouvements. Un Jedi maîtrisant la Forme Soresu peut littéralement créer avec son sabre un bouclier autour de lui, devenant ainsi virtuellement invulnérable.
 
Le Soresu est une forme conçue pour la défense. Son utilisation protège son utilisateur au maximum, afin que ce dernier puisse temporiser et voir les options s’offrant à lui. Bien que la volonté de cette forme soit d’éviter le combat dans un premier temps, elle offre un potentiel offensif non négligeable principalement basé sur des parade-ripostes, contres attaques soudaines surprenant l’adversaire s’épuisant dans des attaques répétées.

Un exemple particulièrement probant : ... ils sont nombreux. Le plus distinct : Obi-Wan Kenobi.
>> La forme Soresu

Forme IV, Ataru

  • Dite Forme de Vélocité

L'Ataru est la quatrième des Formes primordiales, et est généralement enseignée au Padawan dans la même période que la Forme V (ce sont les deux Formes offensives polyvalentes parmi les Primordiales). Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques de la Forme I ; il dure environ un an pour les bases, et il ne possède que de fin une fois l'unification totale avec la force, c'est à dire la mort. Les grands maîtres et les croyants en la force vivante choisissent ce style par défaut.

  • Postures : neutres offensives ou de duel.

Cette Forme fut introduite dans l'Ordre par des espèces ananthropoïdes (à forme non humaine), et fut ensuite adaptée pour être utilisée par les Humains à l'organisme moins performant. La philosophie de la Forme IV a deux aspects essentiels : d'une part, il s'agit d'un style de combat fondé sur la vitesse, dont les multiples mouvements ont pour but de déstabiliser l'adversaire et de l'attaquer en court-circuitant ses défenses ; d'autre part, elle implique un investissement physique et mental très poussé de la part de son utilisateur..
Par des sauts, des rotations ou des déplacements intenses, l'ensemble du corps porte et accompagne des attaques rapides et surprenantes. Style de combat vif et acrobatique, d'une grande mobilité et aisément compatible à des mouvements d'arts martiaux, la Forme IV est essentiellement offensive, et ses enchaînements lorsqu'elle est pratiquée correctement sont difficiles à prévoir et à parer, même si les attaques de l'Ataru ne sont pas très puissantes en soi car elles se concentrent sur la rapidité de mouvement. Il faut cependant noter que les techniques de l'Ataru occupent peu de volume : l'essentiel des mouvements se font en effet près de l'adversaire, l'attaque étant très focalisée, et ce style s'inscrit aussi bien dans des espaces réduits qu'en environnement ouvert. Ses bases sont rapidement assimilables car cette Forme se fonde essentiellement sur la vitesse sans être très complexe, mais sa maîtrise requiert un haut niveau d'endurance, de vivacité et d'agilité. En effet, outre les difficultés de coordination et de précision intrinsèques à ce style, son utilisation prolongée est épuisante et nécessite sinon un surentraînement à la Force vive, du moins une excellente forme physique. Elle représente une harmonie avec la force. En effet l'utilisateur fait appel à la force pour gonfler ses capacités à combattre et (ou) à anticiper. L'Ataru est divisée en 2 branches majeures, l'une acrobatique et très bien connue, souvent confondue avec le vaapad acrobatique, la deuxième, beaucoup plus calme, est basé sur l'écoute de force vivante. Qui-Gon Jinn est surement l'exemple le plus probant de cette utilisation. Bien que certains pensent à tort qu'il utilise le Niman. C'est l'une des rare forme qui fait appel à la force et qui ne soit pas "corruptible". En effet, un maître convaincu et comprenant cette forme ne sera pas attiré par le côté obscur lors de sa pratique. La philosophie de cette forme est l'élément principal de sa maîtrise.
 
L’Ataru se caractérise par une utilisation accrue du terrain pour dominer et prendre l’ascendant sur son adversaire. Déplacements rapides, frappes successives, bonds, coups sautés, utilisation totale de la zone de combat sont les bases de l’Ataru qui est une des formes les plus éprouvantes du sabre. Elle requiert une efficacité et une précision toute particulière sous peine d’épuisement du pratiquant et de voir la situation se retourner contre lui.

 

Exemples particulièrement probants : Yoda, systématiquement, mais également Obi-Wan Kenobi face à Dark Maul dans la salle du générateur sur Naboo ( Attention Obi-Wan est débordé par ses émotions sur Naboo et utilise donc une forme bien plus proche du Vaapad qui puise sa force dans les émotions) .Ahsoka Tano maitrise également cette forme.
>> La forme Ataru en vidéo

 
Forme V, Djem So

  • Dite Forme de Persévérance
     

Le Djem So est la cinquième des Formes primordiales, mais est généralement enseignée en troisième, juste après, ou simultanément à la Forme IV. Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques des Formes I et IV ; il dure environ six mois pour les bases, et jusqu'à cinq à sept années d'entraînement pour un style abouti.

  • Postures : toutes.

Cette Forme est comparable à la Forme III en terme de techniques et d'histoire, mais elle en est un pendant offensif : la Forme V fut conçue aux débuts de la République et, en cette époque de troubles, les Jedi, sans cesse confrontés à des ennemis toujours plus dangereux, créèrent un style de combat polyvalent orienté vers l'attaque. Ainsi, la Forme V traduit la volonté des Jedi de s'affirmer en tant qu'organe de paix actif et bras exécutif de la République.
Ce style conçu pour tous les types de combat est le pendant offensif de la Forme III, avec laquelle il se combine très bien ; stratégie offensive, focalisation et enchaînement d'attaques directes, peu de feintes. Le corps a une attitude mobile, centrée sur l'attaque de l'adversaire, les bras accompagnent le sabre et lui donnent puissance et précision. Le Djem So utilise des attaques uniques puissantes, des parades coupées et des enchaînements tournoyants dont le but est d'être sans cesse en phase offensive. Très polyvalent, focalisé, ce style représente un bon compromis attaque - défense, et permet de trouver un certain équilibre en combat. Il est, de fait, très utilisé par les Jedi dans leur rôle de gardiens de la paix. Cependant, par essence, le Djem So est un style d'attaque et il peut vite devenir très agressif, trahissant au cœur du combat, par facilité ou perte de contrôle, la philosophie Jedi.
L’une des formes offensives de sabre les plus brutales qui soit. Dérivé du Soresu, le Djem So se voulait comme une variante se résumant par «La paix par une puissance de feu supérieur ». Des attaques, des blocages suivis de contre-attaques violentes et puissantes cherchant à briser la garde de l’adversaire caractérisent de façon unique le Djem So. Il repose sur la domination de l’adversaire, en opposition à l’apparente passivité du Soresu mais ses principaux défauts sont son manque de mobilité et l’exigence physique qu’il nécessite.
Un exemple particulièrement probant : Anakin Skywalker, systématiquement.

  • Note : Dans l'ancienne nomenclature (avant l'épisode III), Djem So et Shien sont confondues.

Formes secondaires
Les Formes secondaires sont plus complexes et plus délicates que les Formes Primordiales (mais cela ne signifie pas que ces dernières sont moins abouties). Ce sont des styles ayant une nomenclature exigeante, soit spécialisés dans un domaine précis, soit différenciés des Formes précédentes par des caractéristiques dont ils dérivent.

Forme VI, Niman

  • Dite Forme de Diplomatie
     

Le Niman est la première des Formes secondaires, et il est issu de la combinaison et de la "sublimation" du Shii Cho, du Soresu et du Djem So. Autrefois considérée comme une Forme essentielle dans la pratique des Arts Jedi, son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques des Formes I, III et V ; il nécessite jusqu'à trois années d'entraînement supplémentaire pour un style abouti (en plus des années d'apprentissage des Formes I, III et V).

  • Postures : neutres défensives ou offensives.

Cette Forme complexe est née au fur et à mesure que les Jedi de l'Ancienne République devenaient nombreux : les maîtres du sabre voulaient enseigner et pratiquer un style qui soit la synthèse de toutes les techniques nécessaires au Jedi dans l'exercice de ses fonctions. En pratique, la Forme VI fut créée en combinant des formes précédentes dans le but de créer un style propre aux Jedi de l'Ancienne République : Formes I et V pour les attaques et les enchaînements, Forme III pour la défense, avec quelques techniques spécifiques et une philosophie d'application propre. Le Niman est donc intimement lié à l'éthique Jedi de l'Ancienne République : respect de l'adversaire, fluidité et élégance, efficacité sans violence.
La Forme VI, essentiellement défensive, a notamment pour caractéristiques des attaques souples, fluides et peu agressives, presque toujours indirectes, ainsi que de nombreuses parades dont le but est d'inciter l'adversaire à ne pas combattre. La plupart des techniques du Niman sont issues des Formes III et V, mais le style en soi (c'est-à-dire sa philosophie et sa pratique) et l'agencement des coups sont tout-à-fait spécifiques. Bien qu'assez mobile, le Niman est contraignant car il n'attaque jamais de manière focalisée. Élégant et polyvalent, c'est un style "diplomatique" par excellence en quelque sorte, et comme tel très utilisé par les Jedi de l'Ancienne République. Cette forme, équilibrée, présente de grands avantages de défense, et est efficace face à un petit nombre d'ennemis par exemple, mais ne permet pas d'exceller dans tous les domaines. En effet, certaines de ses lacunes furent fatales à ses utilisateurs lors de la Guerre des Clones : le manque de mobilité et d'agressivité du Niman, malgré ses nombreuses qualités, en fait un style peu adapté aux combats de masse (par exemple, les batailles auxquelles les Jedi furent confrontés lors de la Guerre Noire). Il est également peu utile en duel face à un adversaire expérimenté (bien qu'un "bon Niman" puisse venir à bout sans difficulté de n'importe quel autre bretteur).
 
Le Niman se veut comme la mise en synergie de toutes les formes précédentes. Alliant les bases élémentaires du Shii Cho, la rapidité du Makashi, la défense du Soresu, la mobilité de l’Ataru et la puissance du Djem So, cette forme ne présente pas de réelles faiblesses mais ne donne pas un réel avantage dans un secteur ou un autre. Le Niman donne une plus grande aisance vis-à-vis d’une situation immédiate mais son manque de spécialisation peut le limite rapidement. Les pratiquants de cette forme sont des combattants complets mais pas exceptionnels et utilisent le mélange des autres formes pour surprendre l’adversaire. Le Niman ne convient pas à une confrontation prolongée.
Un exemple particulièrement probant : Ki-Adi-Mundi, d'autres Jedi sur Geonosis.

Forme VII, Juyo

  • Dite Forme de Suprématie

    Le Juyo est la deuxième des Formes secondaires, et elle n'est habituellement pas enseignée aux Jedi mais plutôt pratiquée par des individus isolés, apprise sous la surveillance d'un maître expérimenté. Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques de la Forme I ; il dure plusieurs années pour les bases.
  • Postures : de duel ou neutres offensives.

Cette Forme est aussi délicate qu'ambiguë : jugeant le Makashi trop fixe et trop sobre, trop contraignant, et trop "timoré", certains Jedi créèrent à la fin des Guerres de la Force un style de duel fondé sur l'imprévisibilité et la mise en pratique de la méditation de combat. Toute la subtilité du Juyo est d'utiliser des émotions pour manier le sabre sans perdre le contrôle de soi. La philosophie de ce style, peu explicite, se fonde sur le dépassement de soi, l'habileté à contrer les défenses de l'adversaire et à utiliser la surprise pour vaincre. La Forme VII implique un investissement psychique profond, car pour le Jedi l'émotion est source de danger, et elle peut conduire au Côté Obscur de la Force.
Cette Forme est une des plus difficiles à apprendre et à maîtriser, et peut-être la plus dangereuse, puissante et imprévisible. Le Juyo est fait d'un complexe mélange de passes et de feintes, d'attaques saccadées et décousues, de parades coupées et de bottes fulgurantes ; le combattant est très mobile, le sabre éloigné du corps, les mouvements d'une grande amplitude. Ces caractéristiques font du Juyo un puissant et délicat style de duel Jedi. Cependant, la Forme VII implique de grandes lacunes de défense pour son utilisateur, et nécessite une endurance, une attention et une tension difficiles à assumer. La pratique de ce style requiert un grand effort tant physique que mental, et une certaine disposition d'esprit. Outre sa dangerosité technique, il faut noter que cette Forme facilite la perte de contrôle de sentiments dangereux, telle l'agressivité, et sa pratique requiert un strict respect des règles de combat Jedi et une concentration constante ; en résumé, le Juyo est risqué sur deux points : les techniques elles-mêmes, et l'instabilité émotionnelle qu'il génère.
Un exemple particulièrement probant : Mace Windu, contre Dark Sidious sur Coruscant.

  • Note : Dans l'ancienne nomenclature (avant l'épisode III), Juyo intègre l'ensemble de la Forme VII, et le Vaapad est un style personnel de Dark Sidious.

Forme VII Sith, Vaapad

  • Dite Forme de Domination

Le Vaapad est le nom donné à la "version" Sith du Juyo ; cette Forme est considérée comme entièrement délétère par les Jedi qui abhorre la déformation de la Force que pratiquent les Sith. L'apprentissage du Vaapad nécessite la connaissance des principales techniques de la Forme I et l'utilisation du Côté Obscur de la Force ; il dure plusieurs années pour les bases, et n'a en théorie pas de fin. Cependant cette Forme n'est pas le style de combat par défaut des Sith : en effet, le Vaapad est trop complexe et trop dangereux pour être directement enseigné aux apprentis obscurs.

  • Postures : de duel ou neutres offensives.

Cette Forme est une déformation obscure de la Forme Juyo, copiée par les Sith pendant les Guerres de la Force et "améliorée" par ses différents pratiquants au fil des âges. Elle illustre parfaitement l'esprit des Sith, pour lesquels la Force n'est qu'un outil de pouvoir et de domination. Le nom de cette Forme, "vaapad", est celui d'un redoutable prédateur endémique de Sarapin - l'une des rares créatures "non intelligentes" connues à être sensibles à la Force. Il est essentiel que le Vaapad n'a pas de forme propre, tout art peut être perverti sous forme de Vaapad. Cette art est une philosophie sith. Le Vaapad possède une immense capacité de corruption passive. Tout les adversaires soumis à une confrontation au Vaapad on vu leur comportement changer. La projection de l'aura négative est du au laissé aller des émotions. En outre on finit par séduire les adversaires. Obi-Wan Kenobi et Mace Windu en sont des exemples.
Possédant les mêmes caractéristiques techniques que la Forme Jedi VII, le Vaapad utilise la puissance du Côté Obscur pour entraîner le combattant dans un tourbillon d'émotions agressives qui accroissent considérablement ses capacités offensives. Plus instable que le Juyo, ce style est très apprécié des seigneurs Sith pour sa dangerosité, malgré son important manque de défense individuelle. Conçu pour canaliser une volonté de domination et de destruction, ce style facilite - et nécessite - la montée d'incontrôlables sentiments obscurs.
Un exemple particulièrement probant : Dark Sidious sur Coruscant, Episode III. Dark Maul maîtrise une forme très élaborée du Vaapad et conçu spécialement pour son tempérament. Obi-Wan Kenobi malgré sa foi va lui aussi user de ses émotion pour essayer de défaire son adversaire.
 
Le Juyo est la forme de sabre la plus controversée. Mélange de contrôle de soi en apparence et d’une expression de rage dans le maniement du sabre, transformant l’arme en un tourbillon de coup directs, fulgurants et imprévisibles. Cette forme repose sur une base de feintes trompant l’adversaire avant de s’engouffrer dans la faille créée et d’y enchainer une série de frappes jusqu’à ce que l’attaque porte. Cette psychologie assez belliqueuse. C’est une forme exigeante physiquement, mentalement et techniquement, nécessitant une connaissance de soi accrue pour éviter l’emballement lors de son exécution.

  • Note : Dans l'ancienne nomenclature (avant l'épisode III), Juyo intègre l'ensemble de la Forme VII, et le Vaapad est un style personnel de Dark Sidious.
  • Note : On peut supposer que Mace Windu lors de son dernier combat se laisse lui aussi aller sur un terrain très dangereux. Oubliant les dogmes et les règles Jedi il est prêt à tuer Le seigneur noir des Sith. Il n'est jamais sage d'utiliser la forme VII en présence d'un Sith.

Forme VIII, Sokan

  • Dite Forme de Mobilité

Le Sokan est la troisième des Formes secondaires. Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques des Formes I et IV ; il dure environ deux ans pour les bases, et jusqu'à cinq ou six années d'entraînement pour un style abouti.

  • Postures : toutes.

Cette Forme aux origines anciennes fut d'abord la première adaptation de l'Ataru par les Humains, qui n'avaient à l'époque pas les capacités physiques pour utiliser pleinement la Forme IV originelle. Quand l'Ataru fut adapté pour être enseigné comme une Forme Primordiale, la Forme VIII tomba quelque peu en désuétude, mais sa philosophie et sa pratique ont perduré, prouvant ses capacités d'adaptation, et l'établissement de sa nomenclature la replaça parmi les Formes enseignées et pratiquées. Mobilité, évasion, inscription du combat dans l'espace en sont les points principaux.
La Forme VIII est une concrétisation "spatiale" de la Forme IV, moins agressive, plus lente et plus mobile, de plus grande amplitude et plus puissante. En pratique, les bases de la Forme VIII associent des attaques des Formes I et IV, reposant sur des techniques de mobilité de l'Ataru et des attaques de Shii Cho. Aussi bien défensif qu'offensif, le Sokan se fonde sur la vélocité des mouvements, l'évasion, la précision des attaques. Le sabre est très mobile, les efforts à fournir sont importants, le combattant se déplace beaucoup dans les trois dimensions de l'espace mais porte peu de coups. Il ne s'agit pas de noyer l'adversaire sous une avalanche de coups rapides comme dans la Forme IV, mais de l'épuiser et de le placer en position de faiblesse. Les évasions constituent l'alternative défensive aux parades devenues rares, bien que précises ; les coups sont précis, saccadés, décisifs, les attaques parfois très acrobatiques ; contrairement à l'Ataru qui fait bouger le combattant pour attaquer, ce style utilise au maximum l'environnement pour effectuer des sauts, des feintes et autres évasions, jusqu'à être sûr de vaincre au bon moment.
Un exemple particulièrement probant : Obi-Wan Kenobi, face au Général Grievous sur Utapau, puis pour vaincre Dark Vador sur Mustafar.

Forme IX, Shien So

  • Dite Forme de Précision

Le Shien So ou Shien est la quatrième des Formes secondaires. Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques des Formes I et V ; il dure deux ou trois ans pour les bases, et jusqu'à sept à dix années d'entraînement pour un style abouti.

  • Postures : neutres offensives ; éventuellement de duel.

Ce style est une variante créée en parallèle à la Forme V. La différence tient surtout dans le fait que la Forme IX n'a pas pour philosophie l'attaque active, mais plutôt la volonté de laisser l'adversaire courir à sa perte : ainsi, certains Jedi la préfèrent au Djem So dont elle est dérivée, car, bien que plus contraignante, elle est fondamentalement moins agressive et plus délicate.
La Forme IX est une variante extrêmement épurée de la Forme V, associée à des techniques de la Forme I. Ce style est comme le Djem So essentiellement offensif, mais avec pour but de vaincre avec le minimum d'engagement physique. Le sabre se tient pointé vers l'adversaire, les postures sont tendues et l'attitude est à la fois patiente et menaçante : le Shien So est d'abord destiné à faire hésiter l'adversaire ; si celui-ci attaque malgré tout, la Forme IX à pour but d'effectuer le moins d'attaques possibles, mais précises et efficaces. Les parades, précises, se font par nécessité, et les défenses coupées sont suivies d'attaques d'estoc ou de taille, horizontales et diagonales, de coups vifs et précis ; le Shien So intègre également des enchaînements très complexes, acrobatiques et fulgurants qui ont pour objectif de vaincre en un seul coup. Il s'agit de saisir rapidement la position de faiblesse et le moment opportun pour frapper : contrairement au Djem So qui cherche à briser les défenses, le Shien So les contourne de manière imprévisible. Les grands enchaînements du Shien So sont des attaques extrêmement complexes, très délicates, fulgurantes, qu'il est quasiment impossible de parer et qui assurent la victoire en un instant.
Un exemple particulièrement probant : aucun visible. Peut-être Dark Sidious, par saccades ; ou Obi-Wan Kenobi dans l'Episode III. Mais cela n'est pas probant.

  • Note : Dans l'ancienne nomenclature (avant l'épisode III), Djem So et Shien So sont confondues.

Formes tertiaires

Les Formes tertiaires sont des styles de combats spécifiques au maniement de deux sabres laser ou du double sabre laser. Elles sont associées à des techniques des Formes Primordiales ou secondaires pour constituer un style de combat complet. Kai signifie "deux" en Ossiun, l'ancienne langue Jedi, et traduit la présence de deux lames dans chacune de ces deux Formes.

Forme X, Jar'Kai
Maniement de deux sabres laser

Le Jar'Kai est une des deux Formes tertiaires. Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques de la Forme I ; il dure environ deux ans pour les bases, et jusqu'à dix ou douze années d'entraînement pour un style abouti, selon les techniques combinées.
 
Cette Forme fut autrefois conçue pour codifier les techniques de maniement de deux sabres laser. Même si elle regroupe une grande majorité de ces techniques, la Forme X n'est pas exhaustive en soi, car pour créer un style véritablement abouti dans le maniement de deux sabres il est nécessaire de la combiner avec une des Formes primordiales ou secondaires.
La Forme X regroupe l'ensemble des techniques de maniement de deux sabres laser standard ; il s'agit d'une Forme dangereuse car elle nécessite une excellente coordination, sans quoi l'utilisateur risquerait de se blesser avec l'une des deux lames. Le Jar'Kai est un style complexe et assez polyvalent, aux mouvements nombreux et rapides ; les attaques sont rarement puissantes et cette Forme compte essentiellement sur la multiplicité et l'imprévisibilité des coups. Les deux lames étant indépendantes, l'utilisateur peut les faire agir différemment, mais les techniques en soi sont variables, car on associe généralement à la Forme X un ou plusieurs autres styles. La Forme X est compatible avec toutes les Formes primordiales et secondaires, sauf le Makashi dont le Code contraignant exige deux mains pour un seul sabre. Cependant, il faut noter que certaines Formes s'adaptent mieux que d'autres au Jar'Kai, même si ces combinaisons dépendent surtout du bretteur.
Exemples : Anakin Skywalker, quelques Jedi... ; le tout dans l'Episode II, sur Geonosis.

  • Note : Dans l'ancienne nomenclature (avant l'épisode III), le Jar'Kai est un dérivé du Niman et n'a pas de rapport précis au maniement de deux sabres.

Forme XI, Zez'Kai

  • Maniement d'un double sabre laser

Le Zez'Kai est une des deux Formes tertiaires. Son apprentissage nécessite la connaissance des principales techniques de la Forme I ; il dure environ deux ans pour les bases, et jusqu'à dix ou douze années d'entraînement pour un style abouti, selon les techniques combinées.
Cette Forme fut autrefois conçue pour codifier les techniques de maniement du double sabre laser. Même si elle regroupe une grande majorité de ces techniques, la Forme XI n'est pas exhaustive en soi, car pour créer un style véritablement abouti dans le maniement du double sabre il est nécessaire de la combiner avec une des Formes Primordiales ou secondaires.
La Forme XI regroupe l'ensemble des techniques de maniement du double sabre laser ; il s'agit d'une Forme dangereuse car elle nécessite une excellente coordination, sans quoi l'utilisateur risquerait de se blesser avec l'une des deux lames du sabre. Le Zez'Kai est un style complexe, peut-être moins polyvalent que la Forme X, mais plus physique et plus puissant. Le sabre se maniant comme un bâton de combat à deux lames liées, il permet des enchaînements très réactifs. Les techniques en soi sont très variables, car on associe généralement à la Forme X un ou plusieurs autres styles pour lui donner sa spécificité. De même que pour la Forme X, la Forme XI est compatible avec toutes les Formes primordiales et secondaires, sauf le Makashi. Il faut noter que certaines Formes s'adaptent mieux au Zez'Kai, même si ces combinaisons dépendent surtout du bretteur.
Exemple : Dark Maul.

  • Note : La Forme XI est la plus récemment développée : elle fut ajoutée à la nouvelle nomenclature (peut-être par Leland Chee), et son nom est tiré d'un personnage du jeu Knights of the Old Republic.

Formes quaternaires

Ce groupe rassemble deux Formes (dont la deuxième est une copie de la première) assez particulières puisqu'elles reposent sur l'utilisation combinée de techniques de maniement du sabre et de pouvoirs de la Force.

Forme Tràkata

Parfois nommée Forme XII, ou "Forme zéro" bien que ce terme soit incorrect

  • Forme combinée de sabre et de pouvoirs

Le Tràkata est la seule véritable Forme quaternaire et représente une Forme de maniement du sabre à part entière, bien qu'elle est souvent combinée à une autre Forme pour gagner en spécificité. Son apprentissage nécessite la connaissance et l'utilisation d'au moins une autre Forme, secondaire ou tertiaire ; il dure environ deux ans pour les bases, et n'a en théorie pas de fin.
Cette Forme ancienne fut codifiée par des Maîtres Jedi qui utilisaient beaucoup les pouvoirs physiques et préhensifs en combat et répugnaient à pratiquer le sabre de manière trop agressive. En combat, le Tràkata est généralement combiné à une autre Forme de maniement du sabre.
Le Tràkata est un style particulier qui vise à associer des techniques de maniement du sabre à l'utilisation de pouvoirs de la Force, essentiellement préhensifs, et qui comprend les techniques destinées à bloquer les pouvoirs Sith en duel. Le Tràkata permet aussi de faire intervenir d'autres objets dans le combat : par exemple, lancer des projectiles sur l'adversaire sans cesser de croiser la lame.
En pratique, cette Forme a deux aspects : Premièrement, si elle se pratique couplée à une autre Forme (l'alternative la plus courante), elle fait intervenir des pouvoirs physiques et préhensifs sur de nombreux enchaînements de la Forme classique ; l'objectif est d'attaquer ou de se défendre de deux manières différentes : par le sabre, et par la Force. Par exemple, une attaque frontale ou une botte seront facilement accompagnées d'un pouvoir préhensif (comme une impulsion, une traction...) pour déstabiliser l'adversaire et le placer en position de faiblesse ; la défense au sabre s'accompagnera de sauts, ou de techniques plus complexes comme la déflexion de Force.
Deuxièmement, si le Tràkata se pratique seul (sous sa forme épurée), il consiste à combattre sans dégainer le sabre : le Jedi (les Sith utilisent peu cette technique) doit éviter ou repousser les attaques adverses, par des sauts, des pouvoirs physiques ou préhensifs, etc... et si l'adversaire doit être neutralisé, les techniques de Tràkata consistent à le désarmer ou l'immobiliser grâce à la Force, ou à s'approcher de lui jusqu'à le placer à portée d'attaque directe : le sabre est alors dégainé uniquement pour porter un coup unique et précis, invalidant ou plus rarement mortel.
Exemples : aucun véritable. Éventuellement Obi-Wan Kenobi, Yoda, Mace Windu.

Forme Dun Möch

  • Forme Sith combinée de sabre et de pouvoirs

Le Dun Möch est dérivé du Tràkata ne représente pas vraiment une Forme de maniement du sabre à part entière. Son apprentissage, chez les tenants du Côté Obscur, nécessite la connaissance et l'utilisation d'au moins une Forme primordiale, secondaire ou tertiaire ; il dure environ un an pour les bases, et n'a en théorie pas de fin.
Cette Forme, copie obscure du Tràkata, plus agressive - et moins subtile, exprime la volonté agressive des Sith en combat : les techniques en sont les même que le Tràkata, à ceci près qu'ici il s'agit d'être beaucoup plus offensif : les Sith utilisent le Côté Obscur pour déstabiliser et affaiblir l'adversaire. Il est courant d'attaquer en transformant des objets de l'environnement en dangereux projectiles ; des pouvoirs offensifs comme la Foudre sont utilisés et peuvent même être couplés à des attaques de sabre. Le Dun Möch peut également s'accompagner de railleries destinées à perturber l'adversaire et de techniques de peur et de domination psychologique.
Exemples : le Comte Dooku, Dark Sidious, Dark Vador... Cette Forme est également abusivement utilisée par Galen Marek.

 

Des compléments d'informations ici.


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